D'après les services du procureur d'Agadez, Catherine Dubois, 58 ans, est poursuivie pour "atteinte contre l'autorité et la sûreté de l'Etat, menaces et exercice illégal d'association", chefs d'accusation qui seraient liés à la rébellion touareg active depuis 2007 dans la région d'Agadez, selon cette source.
Mme Dubois est une ancienne employée à Agadez d'une agence de voyage , revenue dans la région pour aider des enfants déshérités.
La seconde Française, Josette Prudhomme, 64 ans, est poursuivie par plusieurs maraîchers de la région auxquels elle aurait signé des chèques sans provision pour plus de 10 millions FCFA (15.300 euros).
Le juge d'instruction a déjà rejeté des demandes de remise en liberté provisoire formulées par les prévenues.
La cour d'Appel de Zinder (sud-est), juridiction dont dépend Agadez, leur a également refusé la liberté provisoire en "confirmant" l'ordonnance de refus du juge.
L'instruction se poursuit et, selon une source judiciaire, elles peuvent soit bénéficier d'un non-lieu soit être traduites devant un tribunal correctionnel. Les peines qu'elles encourent ne sont pas encore connues.
L'état de santé des deux femmes "ne fait que se dégrader".
A Paris, un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Romain Nadal, a précisé que "la situation de Mme Prudhomme et de Mme Dubois est suivie avec beaucoup d'attention par le consulat de Niamey, ainsi que par le Centre de crises" du Quai d'Orsay.
Ce centre "fait régulièrement parvenir des colis de médicaments destinés à Mme Dubois", a-t-il ajouté.
M. Nadal a précisé que le ministère n'avait pas d'informations sur "un éventuel état de santé dégradé" de Mme Prudhomme.
source: Yahoo News
Mme Dubois est une ancienne employée à Agadez d'une agence de voyage , revenue dans la région pour aider des enfants déshérités.
La seconde Française, Josette Prudhomme, 64 ans, est poursuivie par plusieurs maraîchers de la région auxquels elle aurait signé des chèques sans provision pour plus de 10 millions FCFA (15.300 euros).
Le juge d'instruction a déjà rejeté des demandes de remise en liberté provisoire formulées par les prévenues.
La cour d'Appel de Zinder (sud-est), juridiction dont dépend Agadez, leur a également refusé la liberté provisoire en "confirmant" l'ordonnance de refus du juge.
L'instruction se poursuit et, selon une source judiciaire, elles peuvent soit bénéficier d'un non-lieu soit être traduites devant un tribunal correctionnel. Les peines qu'elles encourent ne sont pas encore connues.
L'état de santé des deux femmes "ne fait que se dégrader".
A Paris, un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Romain Nadal, a précisé que "la situation de Mme Prudhomme et de Mme Dubois est suivie avec beaucoup d'attention par le consulat de Niamey, ainsi que par le Centre de crises" du Quai d'Orsay.
Ce centre "fait régulièrement parvenir des colis de médicaments destinés à Mme Dubois", a-t-il ajouté.
M. Nadal a précisé que le ministère n'avait pas d'informations sur "un éventuel état de santé dégradé" de Mme Prudhomme.
source: Yahoo News