"Je vais très mal. Ma préoccupation principale est de me faire soigner avant de voir ce qu'il faut faire. J'ai des inquiétudes qu'on m'ait peut-être empoisonné", a dit M. Yorongar aux journalistes dès son arrivée.
En provenance de Yaoundé via Bruxelles, il était attendu à l'aéroport par sa famille, dont son fils Rokoulmian.
Selon son récit confirmé par des témoignages concordants, Ngarlejy Yorongar a été arrêté le 3 février par les services de sécurité tchadiens à la fin d'une attaque rebelle sur N'Djamena repoussée in extremis avec l'aide de la France, alliée du président Idriss Deby Itno.
Il dit avoir réussi à fuir au Cameroun, où il a réapparu le week-end dernier, après 18 jours de détention.
Le Premier ministre François Fillon avait assuré mardi que "l'asile politique (serait) accordé" à cet opposant irréductible au président Deby. Son fils a toutefois précisé qu'il n'en avait pas fait la demande pour le moment.
En provenance de Yaoundé via Bruxelles, il était attendu à l'aéroport par sa famille, dont son fils Rokoulmian.
Selon son récit confirmé par des témoignages concordants, Ngarlejy Yorongar a été arrêté le 3 février par les services de sécurité tchadiens à la fin d'une attaque rebelle sur N'Djamena repoussée in extremis avec l'aide de la France, alliée du président Idriss Deby Itno.
Il dit avoir réussi à fuir au Cameroun, où il a réapparu le week-end dernier, après 18 jours de détention.
Le Premier ministre François Fillon avait assuré mardi que "l'asile politique (serait) accordé" à cet opposant irréductible au président Deby. Son fils a toutefois précisé qu'il n'en avait pas fait la demande pour le moment.