Selon la presse israélienne, cette annulation serait le premier geste d'humeur de Washington envers Israël en réaction à la décision de Nétanyahou de ne pas geler la colonisation en Cisjordanie, comme le réclame Obama. L'entourage du Premier ministre israélien, lui, s'est empressé d'expliquer que le report était l'initiative de Nétanyahou
Ligne dure. Avec Nicolas Sarkozy, le Premier ministre israélien devrait avoir la partie moins difficile. Les deux hommes partagent la même ligne «dure» sur l'Iran et en particulier sur le dossier nucléaire, face à une administration américaine soupçonnée d'être trop encline au compromis. Mais les diplomaties occidentales restent pour l'instant suspendues au bras de fer en cours à Téhéran. «Il y a en Israël, l'espoir d'un changement de gouvernement à Téhéran.
Si les modérés l'emportent, le programme nucléaire iranien sera moins menaçant pour l'Etat hébreu, car très probablement destiné à de seules fins civiles», souligne Raphael Israeli, professeur à l'université hébraïque de Jérusalem. «Paradoxalement, l'intérêt immédiat d'Israël est une poursuite de la répression et un maintien des conservateurs au pouvoir. Dans ces conditions, la poursuite du programme nucléaire iranien pourrait pousser la communauté internationale à adopter une ligne beaucoup plus dure à l'égard de Téhéran.»
En dehors de l'Iran, «Bibi» et Sarkozy ont aussi évoqué les sujets qui fâchent : la colonisation, le processus de paix, l'avenir de la bande de Gaza Et ceux qui... lire la suite de l'article sur Libération.fr
Source: Libération via Yahoo News
Ligne dure. Avec Nicolas Sarkozy, le Premier ministre israélien devrait avoir la partie moins difficile. Les deux hommes partagent la même ligne «dure» sur l'Iran et en particulier sur le dossier nucléaire, face à une administration américaine soupçonnée d'être trop encline au compromis. Mais les diplomaties occidentales restent pour l'instant suspendues au bras de fer en cours à Téhéran. «Il y a en Israël, l'espoir d'un changement de gouvernement à Téhéran.
Si les modérés l'emportent, le programme nucléaire iranien sera moins menaçant pour l'Etat hébreu, car très probablement destiné à de seules fins civiles», souligne Raphael Israeli, professeur à l'université hébraïque de Jérusalem. «Paradoxalement, l'intérêt immédiat d'Israël est une poursuite de la répression et un maintien des conservateurs au pouvoir. Dans ces conditions, la poursuite du programme nucléaire iranien pourrait pousser la communauté internationale à adopter une ligne beaucoup plus dure à l'égard de Téhéran.»
En dehors de l'Iran, «Bibi» et Sarkozy ont aussi évoqué les sujets qui fâchent : la colonisation, le processus de paix, l'avenir de la bande de Gaza Et ceux qui... lire la suite de l'article sur Libération.fr
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