Après les morts, l'armée 'étudie une remise du pouvoir' en Egypte
Après l'annonce de la mort de neuf à vingt personnes et d'une centaine de blessés, mercredi 2 mai, dans des affrontements qui ont éclaté à proximité du ministère de la défense, l'armée égyptienne s'est déclarée prête à quitter le pouvoir dès le 24 mai en cas de victoire d'un des candidats à la présidentielle dès le premier tour. 'Nous étudions une remise du pouvoir le 24 mai en cas de victoire d'un président au premier tour de l'élection', a indiqué Sami Anan, membre du Conseil suprême des forces armées (CSFA), à qui Hosni Moubarak a remis le pouvoir en démissionnant sous la pression populaire en février 2011. Les violences ont débuté lors d'une manifestation réclamant la fin du pouvoir militaire en Egypte. De nombreux manifestants étaient des partisans du salafiste Hazem Abou Ismaïl, dont la candidature à l'élection présidentielle des 23 et 24 mai a été rejetée la semaine dernière par la commission électorale. Si l'agence AFP fait pour l'instant état de vingt morts, selon des sources médicales, l'agence Reuters évoque un bilan de onze personnes tuées, de source médicale et sécuritaire. Le ministère de la santé faisait état de son côté de neuf morts dans un bilan provisoire.(lemonde.fr) C'est tout de même dommage de voir que le fanatisme tente à prendre le pat sur la tempérance en Egypte.
Tirs à Bamako, la junte à la recherche de "mercenaires"
Des tirs ont éclaté mercredi pour la troisième journée consécutive à Bamako opposant les forces de la junte militaire du capitaine Amadou Sanogo à des soldats fidèles au président déchu Amadou Toumani Touré, ont rapporté des témoins. Selon une source sécuritaire malienne, les soldats favorables à la junte au pouvoir depuis le 22 mars procèdent actuellement à l'évacuation de bâtiments de la capitale à la recherche de mercenaires étrangers infiltrés. "Ces évacuations sont censées aider la mission des soldats qui sont en train de ratisser la ville à la recherche de mercenaires qui se cachent au milieu des Bamakois", a précisé cette source à condition de ne pas être citée nommément. Les fusillades ont résonné notamment dans le secteur de l'Office de radio-télévision malienne, théâtre des plus violents affrontements de ces dernières 48 heures dans la capitale. L'ORTM reste toutefois entre les mains de la junte des capitaines.(fr.reuters.com) Mais qui a donc le bon rôle au Mali?
Les observateurs de l'ONU peuvent-ils arrêter les violences en Syrie ?
L'ONU fait un pari risqué en Syrie : celui d'étoffer sa mission d'observation du cessez-le feu, dans l'espoir qu'elle contribue à faire respecter le cessez-le-feu proclamé le 12 avril mais violé chaque jour depuis cette date. 'Le nombre des observateurs déployés jusqu'ici est faible mais ils ont déjà un impact effectif sur le terrain', a assuré, mardi 1er mai, le secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix de l'ONU, Hervé Ladsous. Ce diplomate français estime que l'équipe avancée de 24 bérets bleus a 'un effet d'atténuation' de la violence et que le déploiement d'une mission entière, forte de 300 observateurs et de 35 conseillers civils, 'pourrait modifier la dynamique', en dépit de la poursuite des violences qui émanent, selon lui, 'des deux camps' et qui ont fait 34 morts mardi. Cette mission de supervision des Nations unies en Syrie (MISNUS), qui verra ses effectifs complets à la fin du mois, devra rendre compte de la mise en application du plan de sortie de crise de Kofi Annan, le médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe, qui, outre un cessez-le-feu, prévoit le retrait des armes lourdes des centres urbains et l'entrée de l'aide humanitaire.(lemonde.fr) Non, malheureusement ils ne le peuvent pas, car le régime syrien ne comprendra maintenant plus que la violence.
Source: Yahoo actualités
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Après l'annonce de la mort de neuf à vingt personnes et d'une centaine de blessés, mercredi 2 mai, dans des affrontements qui ont éclaté à proximité du ministère de la défense, l'armée égyptienne s'est déclarée prête à quitter le pouvoir dès le 24 mai en cas de victoire d'un des candidats à la présidentielle dès le premier tour. 'Nous étudions une remise du pouvoir le 24 mai en cas de victoire d'un président au premier tour de l'élection', a indiqué Sami Anan, membre du Conseil suprême des forces armées (CSFA), à qui Hosni Moubarak a remis le pouvoir en démissionnant sous la pression populaire en février 2011. Les violences ont débuté lors d'une manifestation réclamant la fin du pouvoir militaire en Egypte. De nombreux manifestants étaient des partisans du salafiste Hazem Abou Ismaïl, dont la candidature à l'élection présidentielle des 23 et 24 mai a été rejetée la semaine dernière par la commission électorale. Si l'agence AFP fait pour l'instant état de vingt morts, selon des sources médicales, l'agence Reuters évoque un bilan de onze personnes tuées, de source médicale et sécuritaire. Le ministère de la santé faisait état de son côté de neuf morts dans un bilan provisoire.(lemonde.fr) C'est tout de même dommage de voir que le fanatisme tente à prendre le pat sur la tempérance en Egypte.
Tirs à Bamako, la junte à la recherche de "mercenaires"
Des tirs ont éclaté mercredi pour la troisième journée consécutive à Bamako opposant les forces de la junte militaire du capitaine Amadou Sanogo à des soldats fidèles au président déchu Amadou Toumani Touré, ont rapporté des témoins. Selon une source sécuritaire malienne, les soldats favorables à la junte au pouvoir depuis le 22 mars procèdent actuellement à l'évacuation de bâtiments de la capitale à la recherche de mercenaires étrangers infiltrés. "Ces évacuations sont censées aider la mission des soldats qui sont en train de ratisser la ville à la recherche de mercenaires qui se cachent au milieu des Bamakois", a précisé cette source à condition de ne pas être citée nommément. Les fusillades ont résonné notamment dans le secteur de l'Office de radio-télévision malienne, théâtre des plus violents affrontements de ces dernières 48 heures dans la capitale. L'ORTM reste toutefois entre les mains de la junte des capitaines.(fr.reuters.com) Mais qui a donc le bon rôle au Mali?
Les observateurs de l'ONU peuvent-ils arrêter les violences en Syrie ?
L'ONU fait un pari risqué en Syrie : celui d'étoffer sa mission d'observation du cessez-le feu, dans l'espoir qu'elle contribue à faire respecter le cessez-le-feu proclamé le 12 avril mais violé chaque jour depuis cette date. 'Le nombre des observateurs déployés jusqu'ici est faible mais ils ont déjà un impact effectif sur le terrain', a assuré, mardi 1er mai, le secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix de l'ONU, Hervé Ladsous. Ce diplomate français estime que l'équipe avancée de 24 bérets bleus a 'un effet d'atténuation' de la violence et que le déploiement d'une mission entière, forte de 300 observateurs et de 35 conseillers civils, 'pourrait modifier la dynamique', en dépit de la poursuite des violences qui émanent, selon lui, 'des deux camps' et qui ont fait 34 morts mardi. Cette mission de supervision des Nations unies en Syrie (MISNUS), qui verra ses effectifs complets à la fin du mois, devra rendre compte de la mise en application du plan de sortie de crise de Kofi Annan, le médiateur de l'ONU et de la Ligue arabe, qui, outre un cessez-le-feu, prévoit le retrait des armes lourdes des centres urbains et l'entrée de l'aide humanitaire.(lemonde.fr) Non, malheureusement ils ne le peuvent pas, car le régime syrien ne comprendra maintenant plus que la violence.
Source: Yahoo actualités
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