'Costa Concordia', le récit d'une nuit de naufrage
Près de la côte de la petite île de Giglio, l'épave s'est enfoncée d'une dizaine de centimètres. L'orage et la mer agitée du début d'après-midi, lundi 16 janvier, ont menacé de faire sombrer totalement le navire échoué trois jours plus tôt, poussant les sauveteurs à suspendre leurs recherches pendant quelques heures, peu après la découverte d'un sixième corps. Alors que le commandant est accusé d'homicides involontaires multiples et d'abandon de navire, l'examen de l'équivalent des 'boîtes noires' doit encore déterminer l'enchaînement exact des événements qui ont mené au naufrage. Mais déjà, des témoignages et des vidéos partagées par les passagers permettent de reconstituer le récit du naufrage.'Antonio, viens voir, nous sommes tout près de ton Giglio !', le navire a quitté Civitavecchia, près de Rome, depuis sept heures. Il est peu de temps avant 21 h 40. Le commandant, Francesco Schettino, interpelle un responsable des serveurs du bateau : il tient à le remercier d'avoir renoncé à une semaine de congé par cet 'inchino'. Comprendre une révérence, un salut, toutes lumières et toutes sirènes, à la petite île dont est originaire l'employé, raconte le Corriere della Sera. ''Attention, nous sommes très près de la rive', répond-il au commandant. Trop tard,' relate le quotidien italien. Le navire heurte un rocher, une large brèche s'est ouverte dans la coque. Il se trouvait en effet très près de la côte : à 150 mètres, selon le procureur en charge de l'enquête.(lemonde.fr) Vue la taille du navire, il n'est pas prudent selon moi d'approcher d'aussi près de la rive. Mais peut-être le capitaine s'est il laissé corrompre par le chant des sirènes.
Le républicain Jon Huntsman jette l'éponge, soutient Mitt Romney
Le républicain Jon Huntsman a annoncé lundi qu'il renonçait à briguer l'investiture de son parti en vue de l'élection présidentielle du 6 novembre aux Etats-Unis. L'ancien gouverneur de l'Utah et ex-ambassadeur à Pékin, dont le retrait était anticipé depuis dimanche soir, a fait savoir qu'il soutenait désormais Mitt Romney dans les primaires républicaines. "Je suspends aujourd'hui ma campagne et apporte mon soutien au candidat le mieux équipé pour battre le président et restaurer un leadership conservateur à la Maison blanche: le gouverneur Mitt Romney", annonce-t-il dans un communiqué publié sur son site de campagne (www.jon2012.com). "Aujourd'hui s'achève notre campagne pour la présidence, mais notre campagne pour la construction d'une Amérique meilleure et plus éclairée se poursuit", ajoute-t-il. Après le caucus de l'Iowa et la primaire du New Hampshire, Jon Huntsman était crédité de 3% des intentions de vote dans un sondage Reuters/Ipsos pour la primaire de samedi en Caroline du Sud.(fr.reuters.com) Pourquoi Jon Huntsman est-il parti en campagne? Selon ce sondage, le pari était beaucoup trop risqué, surtout si l'on perd deux Etats à tradition républicaine.
Détente au Nigeria après le recul du président
Les syndicats ont suspendu lundi les grèves et manifestations de protestation contre le doublement du prix de l'essence à la pompe au Nigeria après la décision du président Goodluck Jonathan de réduire d'un tiers ces prix. La mesure prise par le chef de l'Etat, soucieux de déminer une situation explosive face au mécontentement de la population et à la détermination des syndicats, rétablit en partie les subventions de l'Etat au prix de l'essence. Leur suppression, à compter du 1er janvier, était à l'origine de la hausse des cours à la pompe. Le litre d'essence est désormais fixé à 97 nairas (60 cents US), contre 65 nairas avant le 1er janvier. Après la suppression des subventions, le prix avait bondi à 150 nairas, provoquant la colère des syndicats et l'indignation de la population. "Ces huit derniers jours, les Nigérians ont, par le biais de grèves, de manifestations et de débats, clairement montré qu'on ne pouvait pas les mener en bateau et qu'ils étaient un peuple souverain", a réagi Abdulwahed Omar, président de la centrale syndicale NLC.(fr.reuters.com) Je pense que le président cherchait à faire parler de lui ou à montrer aux membres de son gouvernement son pouvoir sur le pays. Dans les deux cas, Il ne faut jamais se servir du peuple, car le peuple est lla matière d'un pays: sans peuple, quel qu'il soit et d'où qu'il vienne, il ne peut y avoir de pays.
Source: Yahoo actualités
Près de la côte de la petite île de Giglio, l'épave s'est enfoncée d'une dizaine de centimètres. L'orage et la mer agitée du début d'après-midi, lundi 16 janvier, ont menacé de faire sombrer totalement le navire échoué trois jours plus tôt, poussant les sauveteurs à suspendre leurs recherches pendant quelques heures, peu après la découverte d'un sixième corps. Alors que le commandant est accusé d'homicides involontaires multiples et d'abandon de navire, l'examen de l'équivalent des 'boîtes noires' doit encore déterminer l'enchaînement exact des événements qui ont mené au naufrage. Mais déjà, des témoignages et des vidéos partagées par les passagers permettent de reconstituer le récit du naufrage.'Antonio, viens voir, nous sommes tout près de ton Giglio !', le navire a quitté Civitavecchia, près de Rome, depuis sept heures. Il est peu de temps avant 21 h 40. Le commandant, Francesco Schettino, interpelle un responsable des serveurs du bateau : il tient à le remercier d'avoir renoncé à une semaine de congé par cet 'inchino'. Comprendre une révérence, un salut, toutes lumières et toutes sirènes, à la petite île dont est originaire l'employé, raconte le Corriere della Sera. ''Attention, nous sommes très près de la rive', répond-il au commandant. Trop tard,' relate le quotidien italien. Le navire heurte un rocher, une large brèche s'est ouverte dans la coque. Il se trouvait en effet très près de la côte : à 150 mètres, selon le procureur en charge de l'enquête.(lemonde.fr) Vue la taille du navire, il n'est pas prudent selon moi d'approcher d'aussi près de la rive. Mais peut-être le capitaine s'est il laissé corrompre par le chant des sirènes.
Le républicain Jon Huntsman jette l'éponge, soutient Mitt Romney
Le républicain Jon Huntsman a annoncé lundi qu'il renonçait à briguer l'investiture de son parti en vue de l'élection présidentielle du 6 novembre aux Etats-Unis. L'ancien gouverneur de l'Utah et ex-ambassadeur à Pékin, dont le retrait était anticipé depuis dimanche soir, a fait savoir qu'il soutenait désormais Mitt Romney dans les primaires républicaines. "Je suspends aujourd'hui ma campagne et apporte mon soutien au candidat le mieux équipé pour battre le président et restaurer un leadership conservateur à la Maison blanche: le gouverneur Mitt Romney", annonce-t-il dans un communiqué publié sur son site de campagne (www.jon2012.com). "Aujourd'hui s'achève notre campagne pour la présidence, mais notre campagne pour la construction d'une Amérique meilleure et plus éclairée se poursuit", ajoute-t-il. Après le caucus de l'Iowa et la primaire du New Hampshire, Jon Huntsman était crédité de 3% des intentions de vote dans un sondage Reuters/Ipsos pour la primaire de samedi en Caroline du Sud.(fr.reuters.com) Pourquoi Jon Huntsman est-il parti en campagne? Selon ce sondage, le pari était beaucoup trop risqué, surtout si l'on perd deux Etats à tradition républicaine.
Détente au Nigeria après le recul du président
Les syndicats ont suspendu lundi les grèves et manifestations de protestation contre le doublement du prix de l'essence à la pompe au Nigeria après la décision du président Goodluck Jonathan de réduire d'un tiers ces prix. La mesure prise par le chef de l'Etat, soucieux de déminer une situation explosive face au mécontentement de la population et à la détermination des syndicats, rétablit en partie les subventions de l'Etat au prix de l'essence. Leur suppression, à compter du 1er janvier, était à l'origine de la hausse des cours à la pompe. Le litre d'essence est désormais fixé à 97 nairas (60 cents US), contre 65 nairas avant le 1er janvier. Après la suppression des subventions, le prix avait bondi à 150 nairas, provoquant la colère des syndicats et l'indignation de la population. "Ces huit derniers jours, les Nigérians ont, par le biais de grèves, de manifestations et de débats, clairement montré qu'on ne pouvait pas les mener en bateau et qu'ils étaient un peuple souverain", a réagi Abdulwahed Omar, président de la centrale syndicale NLC.(fr.reuters.com) Je pense que le président cherchait à faire parler de lui ou à montrer aux membres de son gouvernement son pouvoir sur le pays. Dans les deux cas, Il ne faut jamais se servir du peuple, car le peuple est lla matière d'un pays: sans peuple, quel qu'il soit et d'où qu'il vienne, il ne peut y avoir de pays.
Source: Yahoo actualités