Interrogée sur France-2 sur une compensation éventuelle, évoquée lundi par le journal Le Monde, proposée par la SNCF aux cheminots, représentant entre 80 et 90 millions d'euros par an en diverses mesures, Anne-Marie Idrac a déclaré: "Je suis un chef d'entreprise responsable et je ne suis pas subventionnée. Je ne serai pas pingre."
"Je ne suis pas pingre et les 14 propositions que j'ai faites, elles sont engageantes. Il y a du contenu, il y a du concret, du grain à moudre, comme on dit", a-t-elle poursuivi.
"On ne va pas non plus être irresponsables. On ne fera pas une réforme plus coûteuse" (que les économies qu'est censée entraîner la réforme, NDLR), a-t-elle cependant reconnu.
Sur la poursuite du conflit, la présidente de la SNCF a souligné: "Il y a un mouvement vraiment positif qui se produit, sept cheminots sur dix sont au travail".
"Je sais que la grande majorité des cheminots veut que l'on négocie pour adapter la réforme et sortir de ce conflit qui n'apporte rien de bon à personne", a-t-elle affirmé, rappelant que "les dommages sont importants pour les clients, (...) pour l'entreprise et donc pour les cheminots".
"Je ne vais pas promettre de reprise du travail dès demain, ni même après-demain", a-t-elle cependant reconnu. "Ce que je veux, c'est qu'il y ait le plus vite possible une accélération de cette dynamique de reprise". Se référant à la grève du mois d'octobre, Anne-Marie Idrac a estimé qu'il fallait "48 heures pour s'en sortir complètement sur (le trafic des, NDLR) voyageurs et malheureusement plus de temps sur le fret"
"Je ne suis pas pingre et les 14 propositions que j'ai faites, elles sont engageantes. Il y a du contenu, il y a du concret, du grain à moudre, comme on dit", a-t-elle poursuivi.
"On ne va pas non plus être irresponsables. On ne fera pas une réforme plus coûteuse" (que les économies qu'est censée entraîner la réforme, NDLR), a-t-elle cependant reconnu.
Sur la poursuite du conflit, la présidente de la SNCF a souligné: "Il y a un mouvement vraiment positif qui se produit, sept cheminots sur dix sont au travail".
"Je sais que la grande majorité des cheminots veut que l'on négocie pour adapter la réforme et sortir de ce conflit qui n'apporte rien de bon à personne", a-t-elle affirmé, rappelant que "les dommages sont importants pour les clients, (...) pour l'entreprise et donc pour les cheminots".
"Je ne vais pas promettre de reprise du travail dès demain, ni même après-demain", a-t-elle cependant reconnu. "Ce que je veux, c'est qu'il y ait le plus vite possible une accélération de cette dynamique de reprise". Se référant à la grève du mois d'octobre, Anne-Marie Idrac a estimé qu'il fallait "48 heures pour s'en sortir complètement sur (le trafic des, NDLR) voyageurs et malheureusement plus de temps sur le fret"