"Nous allons poursuivre nos efforts pour obtenir une relance rapide des négociations entre Israéliens et Palestiniens", a dit le médiateur américain aux journalistes alors qu'il était reçu par le président israélien, Shimon Peres, à Jérusalem.
Une telle relance serait un "pas essentiel" vers une "paix globale" dans la région, impliquant Israël et ses voisins syrien et libanais, a-t-il ajouté.
Quelques heures plus tôt, le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, avait indiqué qu'il dirait à George Mitchell qu'il n'existe aucune chance de conclure un accord de paix global avec les Palestiniens avant de nombreuses années.
L'ultranationaliste Lieberman, du parti Yisrael Beitenu, devait recevoir l'émissaire de Barack Obama pour évoquer, entre autres questions, le processus de paix dans l'impasse avec les Palestiniens.
"Je lui dirai clairement qu'il y a de nombreux cas de conflits dans le monde qui n'ont pas été réglés par une solution générale et où les gens ont appris à vivre avec", a-t-il dit à Radio Israël. "Mais l'un dans l'autre, les gens ont pris la décision la plus spectaculaire. Renoncer à recourir à la force. Renoncer à la terreur. Et cesser d'inciter les uns à s'en prendre aux autres", a-t-il ajouté.
Barack Obama a fait d'une reprise des négociations de paix l'une de ses priorités en politique étrangère et a jeté tout son poids dans cette bataille en organisant en septembre une rencontre entre dirigeants palestiniens et israéliens à New York, avec peu de succès pour l'instant.
"Ce qu'il est possible de conclure, c'est un accord intermédiaire à long terme (...) qui remet les questions les plus délicates à une phase bien ultérieure", a dit Lieberman, en faisant allusion aux questions comme le statut futur de Jérusalem, les réfugiés palestiniens et les frontières.
En Jordanie, le roi Abdallah, dont le pays a conclu un accord de paix avec Israël et qui joue un rôle important dans le processus de paix avec les Palestiniens, a estimé dans une interview diffusée jeudi que "nous retombons dans les ténèbres".
Source: Reuters via Yahoo News
Une telle relance serait un "pas essentiel" vers une "paix globale" dans la région, impliquant Israël et ses voisins syrien et libanais, a-t-il ajouté.
Quelques heures plus tôt, le ministre israélien des Affaires étrangères, Avigdor Lieberman, avait indiqué qu'il dirait à George Mitchell qu'il n'existe aucune chance de conclure un accord de paix global avec les Palestiniens avant de nombreuses années.
L'ultranationaliste Lieberman, du parti Yisrael Beitenu, devait recevoir l'émissaire de Barack Obama pour évoquer, entre autres questions, le processus de paix dans l'impasse avec les Palestiniens.
"Je lui dirai clairement qu'il y a de nombreux cas de conflits dans le monde qui n'ont pas été réglés par une solution générale et où les gens ont appris à vivre avec", a-t-il dit à Radio Israël. "Mais l'un dans l'autre, les gens ont pris la décision la plus spectaculaire. Renoncer à recourir à la force. Renoncer à la terreur. Et cesser d'inciter les uns à s'en prendre aux autres", a-t-il ajouté.
Barack Obama a fait d'une reprise des négociations de paix l'une de ses priorités en politique étrangère et a jeté tout son poids dans cette bataille en organisant en septembre une rencontre entre dirigeants palestiniens et israéliens à New York, avec peu de succès pour l'instant.
"Ce qu'il est possible de conclure, c'est un accord intermédiaire à long terme (...) qui remet les questions les plus délicates à une phase bien ultérieure", a dit Lieberman, en faisant allusion aux questions comme le statut futur de Jérusalem, les réfugiés palestiniens et les frontières.
En Jordanie, le roi Abdallah, dont le pays a conclu un accord de paix avec Israël et qui joue un rôle important dans le processus de paix avec les Palestiniens, a estimé dans une interview diffusée jeudi que "nous retombons dans les ténèbres".
Source: Reuters via Yahoo News