La société a confirmé dans un communiqué l'information annoncée mardi soir sur France 3.
Air France nie toute responsabilité dans ce dossier.
"Elle démontrera qu'elle a respecté toutes les procédures qui s'imposaient à elles. La sûreté comme la sécurité sont les premiers devoirs que doit s'imposer une compagnie aérienne", dit la compagnie.
Un ancien agent de piste de la société était déjà mis en examen depuis 2006 dans ce dossier instruit à Créteil (Val-de-Marne).
L'hôtesse de l'air est morte des suites d'une chute survenue lors du retrait de l'escalier mobile, après un débarquement de passagers d'un avion.
Air France avait imputé la responsabilité de l'affaire à l'employé, qui a été licencié, en se fondant sur une enquête interne. Elle concluait que cet employé n'avait respecté aucune des mesures de sécurisation préalables prévues avant le retrait des escaliers mobiles.
Il lui était notamment reproché de ne pas avoir vérifié que la porte de l'avion était fermée et de n'avoir pas mis en place les dispositifs d'interdiction à l'escalier.
Les syndicats avaient organisé une grève qui avait paralysé le trafic à Orly, affirmant que l'agent servait de bouc émissaire à la direction.
Pour eux, l'accident était imputable aux réductions d'effectifs ayant contraint le salarié à conduire seul son camion-escabeau au moment des faits, ce qui serait contraire aux procédures réglementaires.
Selon Air France, le juge d'instruction Arnaud Desgranges fonde sa mise en examen sur des interrogations portant sur "la conformité en terme de conception de l'escalier d'où est tombé l'hôtesse". Le magistrat se pose aussi des questions quant "aux procédures d'exploitation d'Air France", explique la société.
Air France assure qu'elle apportera "toutes les réponses et justifications".
Source: Yahoo News
Air France nie toute responsabilité dans ce dossier.
"Elle démontrera qu'elle a respecté toutes les procédures qui s'imposaient à elles. La sûreté comme la sécurité sont les premiers devoirs que doit s'imposer une compagnie aérienne", dit la compagnie.
Un ancien agent de piste de la société était déjà mis en examen depuis 2006 dans ce dossier instruit à Créteil (Val-de-Marne).
L'hôtesse de l'air est morte des suites d'une chute survenue lors du retrait de l'escalier mobile, après un débarquement de passagers d'un avion.
Air France avait imputé la responsabilité de l'affaire à l'employé, qui a été licencié, en se fondant sur une enquête interne. Elle concluait que cet employé n'avait respecté aucune des mesures de sécurisation préalables prévues avant le retrait des escaliers mobiles.
Il lui était notamment reproché de ne pas avoir vérifié que la porte de l'avion était fermée et de n'avoir pas mis en place les dispositifs d'interdiction à l'escalier.
Les syndicats avaient organisé une grève qui avait paralysé le trafic à Orly, affirmant que l'agent servait de bouc émissaire à la direction.
Pour eux, l'accident était imputable aux réductions d'effectifs ayant contraint le salarié à conduire seul son camion-escabeau au moment des faits, ce qui serait contraire aux procédures réglementaires.
Selon Air France, le juge d'instruction Arnaud Desgranges fonde sa mise en examen sur des interrogations portant sur "la conformité en terme de conception de l'escalier d'où est tombé l'hôtesse". Le magistrat se pose aussi des questions quant "aux procédures d'exploitation d'Air France", explique la société.
Air France assure qu'elle apportera "toutes les réponses et justifications".
Source: Yahoo News