Au terme de plusieurs mois d’investigations, entamées en août dernier par la brigade des Délégation judiciaire de la Sécurité publique, quatre personnes ont été mises en examen, hier, pour abus de faiblesse, escroquerie, faux et usage de faux.
Pendant plusieurs mois, sous l’impulsion d’une psychologue, âgée de 49 ans et membre de l’Institut régional des sourds et aveugles de Marseille, les deux victimes ont été spoliées d’une large partie de leurs biens. Le préjudice, toujours en cours d’évaluation, atteindrait aujourd’hui 50 000 €. C’est après avoir rencontré le fils, dans le cadre de son activité professionnelle, que la psychologue aurait peu à peu dessiné son funeste projet.
La première malversation aurait consisté à modifier les bénéficiaires de deux contrats assurance-vie, ceux de la mère et du fils, à son profit. Par la suite, avec l’aide de son mari et d’un couple de jeunes gens, d’autres détournements ont consisté à réaliser des retraits frauduleux sur les comptes des deux victimes. Un chèque leur appartenant a été encaissé par l’époux de la psychologue, au profit de sa société de maçonnerie.
Enfin, l’appartement des deux personnes handicapées, à La Penne-sur-Huveaune, a été vidé de la plupart des objets de valeur, dont des meubles et des bijoux. Même une voiture a disparu. Le parquet a requis hier soir le placement en détention de la psychologue.
laprovence.com
Pendant plusieurs mois, sous l’impulsion d’une psychologue, âgée de 49 ans et membre de l’Institut régional des sourds et aveugles de Marseille, les deux victimes ont été spoliées d’une large partie de leurs biens. Le préjudice, toujours en cours d’évaluation, atteindrait aujourd’hui 50 000 €. C’est après avoir rencontré le fils, dans le cadre de son activité professionnelle, que la psychologue aurait peu à peu dessiné son funeste projet.
La première malversation aurait consisté à modifier les bénéficiaires de deux contrats assurance-vie, ceux de la mère et du fils, à son profit. Par la suite, avec l’aide de son mari et d’un couple de jeunes gens, d’autres détournements ont consisté à réaliser des retraits frauduleux sur les comptes des deux victimes. Un chèque leur appartenant a été encaissé par l’époux de la psychologue, au profit de sa société de maçonnerie.
Enfin, l’appartement des deux personnes handicapées, à La Penne-sur-Huveaune, a été vidé de la plupart des objets de valeur, dont des meubles et des bijoux. Même une voiture a disparu. Le parquet a requis hier soir le placement en détention de la psychologue.
laprovence.com