Le cortège s'est ébranlé à 10h30 du Vieux-Port pour rejoindre en fin de matinée la préfecture sous une banderole de tête barrée de la mention: "Emplois qualifiés, revalorisés, protection sociale et services publics garantis travailleurs respectés". Les enseignants et les agents hospitaliers étaient les plus représentés dans le cortège.
Sur les pancartes, on pouvait lire notamment: "Régression sociale pour le peuple", "L'emploi, c'est un droit", ou encore "En lutte contre le recul social". Une petite délégation des personnels des banques et assurances s'était jointe au cortège, de même qu'une demi-douzaine de boulangers-pâtissiers marchant "pour un treizième mois".
"On a vécu un lundi noir pour les bourses. On vit un mardi rouge sur la Canebière", a déclaré Mireille Chiessa, secrétaire départementale CGT. "Ce n'est pas aux salariés de payer cette crise mondiale", a-t-elle insisté. "Si on veut sortir de la récession, il faut activer tous les leviers sociaux, augmenter les salaires. Les caisses ne sont pas vides. L'argent est là, puisqu'on l'injecte par milliards dans les banques".
Source: Yahoo News
Sur les pancartes, on pouvait lire notamment: "Régression sociale pour le peuple", "L'emploi, c'est un droit", ou encore "En lutte contre le recul social". Une petite délégation des personnels des banques et assurances s'était jointe au cortège, de même qu'une demi-douzaine de boulangers-pâtissiers marchant "pour un treizième mois".
"On a vécu un lundi noir pour les bourses. On vit un mardi rouge sur la Canebière", a déclaré Mireille Chiessa, secrétaire départementale CGT. "Ce n'est pas aux salariés de payer cette crise mondiale", a-t-elle insisté. "Si on veut sortir de la récession, il faut activer tous les leviers sociaux, augmenter les salaires. Les caisses ne sont pas vides. L'argent est là, puisqu'on l'injecte par milliards dans les banques".
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