"Nous irons au bout de ce processus de réforme", a assuré M. Sarkozy lors d'une intervention devant le mouvement Les Progressistes dirigé par son secrétaire d'Etat Eric Besson.
"Il y a 21 millions de salariés du privé qui en 1994 sont passés à 40 années de cotisation. Il y a 5 millions de fonctionnaires qui en 2003 sont passés à 40 années de cotisation. Il y a 500.000 agents des régimes spéciaux de retraite qui passeront à 40 années de cotisation parce que, tout simplement, c'est une affaire d'équité, de justice", a-t-il poursuivi.
A quatre jours d'une grève qui s'annonce très bien suivie, le chef de l'Etat a lancé un appel au calme et à la responsabilité.
"La France doit tourner le dos à la brutalité. Je le dis à chacun +soyez très responsables, soyez très calmes, faites preuve de beaucoup de sang froid, car en plus des problèmes qu'a notre pays, il n'a pas besoin de violence, de manipulation", a dit M. Sarkozy.
"Le gouvernement est très mobilisé, la porte du dialogue restera ouverte quoi qu'il arrive", a-t-il insisté. "Mais j'ai été élu sur un projet présidentiel, j'ai un travail à faire, j'ai des solutions à apporter aux problèmes de la France, ces solutions-là, on les apportera (...) dans une démocratie, c'est le citoyen et l'électeur qui parlent", a-t-il conclu.
"Il y a 21 millions de salariés du privé qui en 1994 sont passés à 40 années de cotisation. Il y a 5 millions de fonctionnaires qui en 2003 sont passés à 40 années de cotisation. Il y a 500.000 agents des régimes spéciaux de retraite qui passeront à 40 années de cotisation parce que, tout simplement, c'est une affaire d'équité, de justice", a-t-il poursuivi.
A quatre jours d'une grève qui s'annonce très bien suivie, le chef de l'Etat a lancé un appel au calme et à la responsabilité.
"La France doit tourner le dos à la brutalité. Je le dis à chacun +soyez très responsables, soyez très calmes, faites preuve de beaucoup de sang froid, car en plus des problèmes qu'a notre pays, il n'a pas besoin de violence, de manipulation", a dit M. Sarkozy.
"Le gouvernement est très mobilisé, la porte du dialogue restera ouverte quoi qu'il arrive", a-t-il insisté. "Mais j'ai été élu sur un projet présidentiel, j'ai un travail à faire, j'ai des solutions à apporter aux problèmes de la France, ces solutions-là, on les apportera (...) dans une démocratie, c'est le citoyen et l'électeur qui parlent", a-t-il conclu.