A l’appel de l’Union des forces de changement (Ufc, principal parti d’opposition), les manifestants ont défilé pacifiquement avant d’organiser un rassemblement à la plage.
Plusieurs responsables de l’Ufc dont son chef Gilchrist Olympio y participaient.
Certains manifestants scandaient des slogans hostiles au régime. Sur certaines banderoles et pancartes, on pouvait lire : "Peuple togolais, réveilles-toi et dis non", "Sans réformes consensuelles, pas d’élections" ou encore "Fraudes électorales = violences".
"Le Rassemblement du peuple togolais (Rpt, au pouvoir) ne veut pas s’asseoir avec nous pour discuter des réformes constitutionnelles et institutionnelles. Nous voulons une loi électorale démocratique : pas d’inclusion, pas de discrimination", a déclaré M. Olympio.
Le 28 mai, le président Faure Gnassingbé avait élargi le "cadre du dialogue" à d’autres formations et organisations de la Société civile sur recommandation du Comité de suivi de l’accord politique signé en août 2006.
Source: Le Soleil
Plusieurs responsables de l’Ufc dont son chef Gilchrist Olympio y participaient.
Certains manifestants scandaient des slogans hostiles au régime. Sur certaines banderoles et pancartes, on pouvait lire : "Peuple togolais, réveilles-toi et dis non", "Sans réformes consensuelles, pas d’élections" ou encore "Fraudes électorales = violences".
"Le Rassemblement du peuple togolais (Rpt, au pouvoir) ne veut pas s’asseoir avec nous pour discuter des réformes constitutionnelles et institutionnelles. Nous voulons une loi électorale démocratique : pas d’inclusion, pas de discrimination", a déclaré M. Olympio.
Le 28 mai, le président Faure Gnassingbé avait élargi le "cadre du dialogue" à d’autres formations et organisations de la Société civile sur recommandation du Comité de suivi de l’accord politique signé en août 2006.
Source: Le Soleil