L’attaque a eu lieu tôt ce lundi matin dans la zone des trois frontières, où la force antiterroriste française « Barkhane » concentre ses efforts depuis janvier 2020.
Selon les informations, les trois soldats à savoir le brigadier-chef Tanerii Mauri et les chasseurs de 1ère classe Quentin Pauchet et Dorian Issakhanian effectuaient une mission d’escorte, dans une région frontalière du Niger et du Burkina Faso ce lundi 28 décembre quand ils sont tués par une bombe artisanale.
Les trois soldats étaient âgés de 21, 23 et 28 ans. Pilote de véhicule blindé léger, tireur antichar et adjoint chef de patrouille, ils étaient déployés pour la première fois au Sahel depuis la mi-novembre.
Ces trois nouveaux décès des soldats français portent à 10 le nombre de soldats français mort en 2020, et à 50 depuis le début de l’engagement de la France au Mali en 2013.
La ministre des armées, Florence Parly s’est inclinée devant la mémoire des trois soldats.
« Ils sont morts dans l’accomplissement de leur devoir, alors qu’ils étaient engagés dans une zone où des groupes terroristes attaquent les populations civiles et menacent la stabilité régionale, tout comme notre propre sécurité », a-t-elle déclaré.
Le président français Emmanuel Macron a par ailleurs fait part de sa "très grande émotion" et "salué la mémoire" des trois militaires, morts pour la France dans l'accomplissement de leur mission. Il a aussi rappelé la "détermination de la France à poursuivre la lutte contre le terrorisme, notamment dans cette région où sévit l'État islamique au Grand Sahel.
Selon les informations, les trois soldats à savoir le brigadier-chef Tanerii Mauri et les chasseurs de 1ère classe Quentin Pauchet et Dorian Issakhanian effectuaient une mission d’escorte, dans une région frontalière du Niger et du Burkina Faso ce lundi 28 décembre quand ils sont tués par une bombe artisanale.
Les trois soldats étaient âgés de 21, 23 et 28 ans. Pilote de véhicule blindé léger, tireur antichar et adjoint chef de patrouille, ils étaient déployés pour la première fois au Sahel depuis la mi-novembre.
Ces trois nouveaux décès des soldats français portent à 10 le nombre de soldats français mort en 2020, et à 50 depuis le début de l’engagement de la France au Mali en 2013.
La ministre des armées, Florence Parly s’est inclinée devant la mémoire des trois soldats.
« Ils sont morts dans l’accomplissement de leur devoir, alors qu’ils étaient engagés dans une zone où des groupes terroristes attaquent les populations civiles et menacent la stabilité régionale, tout comme notre propre sécurité », a-t-elle déclaré.
Le président français Emmanuel Macron a par ailleurs fait part de sa "très grande émotion" et "salué la mémoire" des trois militaires, morts pour la France dans l'accomplissement de leur mission. Il a aussi rappelé la "détermination de la France à poursuivre la lutte contre le terrorisme, notamment dans cette région où sévit l'État islamique au Grand Sahel.