L'objectif principal de cette harmonisation est de permettre une circulation fluide des citoyens à travers les frontières des trois pays. En effet, les ministres ont souligné l'importance de cette mesure pour renforcer l’unité et l'intégration au sein de l'AES, une confédération qui a été formée en 2024 suite à la décision des trois pays de se retirer de la Communauté Économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). À deux mois de la mise en œuvre définitive de cette sortie, les gouvernements des trois pays multiplient les démarches pour assurer une transition fluide, notamment en matière de documents de voyage.
Les travaux à Bamako ont permis de valider les spécifications des nouveaux passeports et cartes d'identité, prenant en compte des critères techniques tels que le format, les éléments de sécurité, la validité, ainsi que les langues officielles. Ces documents harmonisés ont pour objectif de garantir à chaque citoyen de l'AES un accès facilité aux pays voisins, dans le respect des principes d’intégration régionale.
Les travaux à Bamako ont permis de valider les spécifications des nouveaux passeports et cartes d'identité, prenant en compte des critères techniques tels que le format, les éléments de sécurité, la validité, ainsi que les langues officielles. Ces documents harmonisés ont pour objectif de garantir à chaque citoyen de l'AES un accès facilité aux pays voisins, dans le respect des principes d’intégration régionale.
Cette initiative s'inscrit dans une série de mesures visant à renforcer la cohésion des trois États et à réduire les obstacles à la libre circulation. L’accord signé en novembre à Niamey, par exemple, a permis de lever les frais d’itinérance (roaming) entre les opérateurs téléphoniques des trois pays. Cette action concrète vise à faciliter la communication et à rapprocher encore davantage les populations de ces nations, dans un environnement régional de plus en plus interdépendant.
Les ministres ont également rappelé, dans un communiqué, que la mise en œuvre de ces documents harmonisés devra être validée par les chefs d'État des trois pays, à savoir Assimi Goïta du Mali, Abdourahamane Tiani du Niger et Ibrahim Traoré du Burkina Faso. Cette étape représente une avancée significative vers la mise en place d’une véritable confédération des États du Sahel, qui regroupe désormais environ 72 millions de citoyens.
Les ministres ont également rappelé, dans un communiqué, que la mise en œuvre de ces documents harmonisés devra être validée par les chefs d'État des trois pays, à savoir Assimi Goïta du Mali, Abdourahamane Tiani du Niger et Ibrahim Traoré du Burkina Faso. Cette étape représente une avancée significative vers la mise en place d’une véritable confédération des États du Sahel, qui regroupe désormais environ 72 millions de citoyens.
Cette initiative s'inscrit dans une série de mesures visant à renforcer la cohésion des trois États et à réduire les obstacles à la libre circulation. L’accord signé en novembre à Niamey, par exemple, a permis de lever les frais d’itinérance (roaming) entre les opérateurs téléphoniques des trois pays. Cette action concrète vise à faciliter la communication et à rapprocher encore davantage les populations de ces nations, dans un environnement régional de plus en plus interdépendant.
Les ministres ont également rappelé, dans un communiqué, que la mise en œuvre de ces documents harmonisés devra être validée par les chefs d'État des trois pays, à savoir Assimi Goïta du Mali, Abdourahamane Tiani du Niger et Ibrahim Traoré du Burkina Faso. Cette étape représente une avancée significative vers la mise en place d’une véritable confédération des États du Sahel, qui regroupe désormais environ 72 millions de citoyens.
Les ministres ont également rappelé, dans un communiqué, que la mise en œuvre de ces documents harmonisés devra être validée par les chefs d'État des trois pays, à savoir Assimi Goïta du Mali, Abdourahamane Tiani du Niger et Ibrahim Traoré du Burkina Faso. Cette étape représente une avancée significative vers la mise en place d’une véritable confédération des États du Sahel, qui regroupe désormais environ 72 millions de citoyens.
À la suite de la rencontre de Bamako, les ministres ont désigné un comité de suivi pour veiller à la mise en œuvre des décisions prises. Ce comité sera chargé d'élaborer un calendrier détaillant les étapes nécessaires à l'achèvement du processus d’harmonisation des documents de voyage et d'identité. Le suivi inclura également des ajustements au besoin, afin de garantir l’adoption effective de ces nouveaux documents dans les délais prévus.
L’harmonisation des documents de voyage et la suppression des frais d’itinérance téléphonique ne sont que les premiers pas dans un projet plus vaste d’intégration des trois pays.
L’harmonisation des documents de voyage et la suppression des frais d’itinérance téléphonique ne sont que les premiers pas dans un projet plus vaste d’intégration des trois pays.