La vidéo montrant les membres présumés de l'ETA par ici
L'enquête continue et passe «par l'exploitation des quelques 600 scellés qui ont été faits» dans cette affaire, notamment des «empreintes digitales, de traces génétiques (ADN), de douilles, en particulier de neuf millimètres et d'autres calibres dont certains plus gros», a expliqué à l'AFP le directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Péchenard.
Selon lui, «l'appel à témoin (de vendredi) reste quand même valable, puisque en dehors des cinq sur la vidéo, nous avons fait passer deux photos de terroristes avérés de l'ETA, d'une part celui qui a été arrêté et d'autre part un autre qui, lui, a été reconnu par les victimes du vol à main armée».
Le membre présumé de l'ETA arrêté mardi soir devait pour sa part être déféré samedi soir au parquet antiterroriste qui s'apprête à ouvrir une information judiciaire. Il devrait être présenté dans la foulée à un juge d'instruction en vue de son éventuelle mise en examen et d'un placement en détention provisoire.
«Accusation gratuite»
«Quand on a pensé à distribuer la vidéo, ce qu'on cherchait à faire, c'était localiser cinq personnes que nous ne connaissions pas. Nous aurions dû dire clairement que nous ne les connaissions pas (...). A partir de là, il y a eu une erreurå, a déclaré Alfredo Perez Rubalcaba, le ministre de l'Intérieur espagnol.
Source: 20minutes.fr via Yahoo
France
20/03/2010 19:15
Malgré la méprise, la piste de l'ETA toujours privilégiée
Les polices espagnole et française ont commis une méprise en croyant identifier sur une vidéo des etarras dans des pompiers espagnols en stage en France mais ont réaffirmé, samedi, la responsabilité de l'organisation indépendantiste basque ETA dans la mort d'un policier français mardi.
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