Selon le ministère, le but de la mesure serait de lutter contre le transport de drogue par les femmes, souvent utilisées par les trafiquants.
Rais Yatim a soumis la proposition au gouvernement, a rapporté dimanche le "New Sunday Times". L'initiative est semblable à des lois déjà appliquées dans certains pays arabes, comme l'Arabie saoudite, où les femmes doivent obtenir la permission de leur gardien pour voyager à l'étranger, en vertu de principes islamiques.
Selon le "New Sunday Times", 119 Malaysiens, dont 90% de femmes, sont emprisonnés à l'étranger pour des délits liés au trafic de drogue. la plupart ont entre 21 et 27 ans.
"Beaucoup de ces femmes quittent le pays sous le prétexte du travail ou de cours et séminaires auxquels elles doivent assister", explique Rais Yatim, cité par le journal. "Avec cette déclaration, nous saurons avec certitude où et pour quelle raison elles se rendent à l'étranger".
Les associations de défense des droits de la femme se sont élevées contre cette proposition. Selon Norhayati Kaprawi, des Soeurs de l'islam, il s'agit "non seulement d'une violation des droits de la femme, mais d'une violation des droits de l'Homme".
Source: yahoo news
Rais Yatim a soumis la proposition au gouvernement, a rapporté dimanche le "New Sunday Times". L'initiative est semblable à des lois déjà appliquées dans certains pays arabes, comme l'Arabie saoudite, où les femmes doivent obtenir la permission de leur gardien pour voyager à l'étranger, en vertu de principes islamiques.
Selon le "New Sunday Times", 119 Malaysiens, dont 90% de femmes, sont emprisonnés à l'étranger pour des délits liés au trafic de drogue. la plupart ont entre 21 et 27 ans.
"Beaucoup de ces femmes quittent le pays sous le prétexte du travail ou de cours et séminaires auxquels elles doivent assister", explique Rais Yatim, cité par le journal. "Avec cette déclaration, nous saurons avec certitude où et pour quelle raison elles se rendent à l'étranger".
Les associations de défense des droits de la femme se sont élevées contre cette proposition. Selon Norhayati Kaprawi, des Soeurs de l'islam, il s'agit "non seulement d'une violation des droits de la femme, mais d'une violation des droits de l'Homme".
Source: yahoo news