"J'ai exprimé mon désir auprès du président de pouvoir l'accompagner, mais je lui ai dit qui si cela posait des problèmes, il ne fallait pas qu'il se gêne pour me le dire", a déclaré le chanteur pied-noir, interrogé par l'AFP après des déclarations du Premier ministre algérien Abdelaziz Belkhadem.
Dans une interview au quotidien L'Expression samedi, ce dernier s'est déclaré opposé à la venue du chanteur.
M. Belkhadem, qui avait publiquement combattu la venue de M. Macias en Algérie en 2000, a déclaré: "Je n'ai pas changé d'avis".
Mais, a-t-il tempéré, "nous n'avons pas le droit de choisir les invités qui vont accompagner le président français", lors de sa venue en Algérie début décembre pour sa première visite d'Etat depuis son élection en mai.
"Ceux qui viendront avec le président Sarkozy seront nos invités", a précisé le Premier ministre.
Selon un projet de programme officiel évoqué par la presse algérienne, le chef de l'Etat français pourrait se rendre à Constantine (est), ville natale du chanteur qui y a exercé comme instituteur avant de prendre le chemin de l'exode après la proclamation de l'indépendance algérienne en juillet 1962.
En 2000, M. Belkhadem, qui n'avait pas de fonction officielle au gouvernement, avait pris la tête d'un "front du refus" d'une visite annoncée du chanteur, qui devait se rendre dans son pays natal à l'invitation du président Abdelaziz Bouteflika.
Interrogé sur ce point, l'Elysée s'est contenté d'indiquer que la venue du chanteur était effectivement évoquée, mais se heurtait à des réticences en Algérie.
Dans une interview au quotidien L'Expression samedi, ce dernier s'est déclaré opposé à la venue du chanteur.
M. Belkhadem, qui avait publiquement combattu la venue de M. Macias en Algérie en 2000, a déclaré: "Je n'ai pas changé d'avis".
Mais, a-t-il tempéré, "nous n'avons pas le droit de choisir les invités qui vont accompagner le président français", lors de sa venue en Algérie début décembre pour sa première visite d'Etat depuis son élection en mai.
"Ceux qui viendront avec le président Sarkozy seront nos invités", a précisé le Premier ministre.
Selon un projet de programme officiel évoqué par la presse algérienne, le chef de l'Etat français pourrait se rendre à Constantine (est), ville natale du chanteur qui y a exercé comme instituteur avant de prendre le chemin de l'exode après la proclamation de l'indépendance algérienne en juillet 1962.
En 2000, M. Belkhadem, qui n'avait pas de fonction officielle au gouvernement, avait pris la tête d'un "front du refus" d'une visite annoncée du chanteur, qui devait se rendre dans son pays natal à l'invitation du président Abdelaziz Bouteflika.
Interrogé sur ce point, l'Elysée s'est contenté d'indiquer que la venue du chanteur était effectivement évoquée, mais se heurtait à des réticences en Algérie.