En 1995, son 2ème album "Les années sombres" crie sa solitude face à la maladie dont il est atteint. En 1997, il sort un album live intitulé "Je sais pas trop".
Après le magnifique album "Dehors" en 2000, et le live "La Marche" en 2002, Mano Solo revient avec un huitième album, "Les Animals". En 13 titres, il nous prouve encore une fois qu’il n’aura jamais tout dit, qu’il vient d’un monde au débit sans fin, souvent poète, des fois revêche, mais toujours animé d’un formidable amour de la vie.
"Les Animals" s’inscrit dans la continuité festive de ces deux derniers albums, en empruntant à l’Afrique son tempo inexorable et ravageur. Quand l’accordéon nous parle en malgache la guitare lui répond en espagnol, des pianos mélopées percutent de plein fouet des ska galopants, les chansons mexicains parlent de la Seine dans une anarchie harmonieuse, unie par les mots. Les mots de Mano.
En 2007, il revient avec In The Garden, album totalement autoproduit puisque son contrat avec sa maison de disque a été rompu.
Après le magnifique album "Dehors" en 2000, et le live "La Marche" en 2002, Mano Solo revient avec un huitième album, "Les Animals". En 13 titres, il nous prouve encore une fois qu’il n’aura jamais tout dit, qu’il vient d’un monde au débit sans fin, souvent poète, des fois revêche, mais toujours animé d’un formidable amour de la vie.
"Les Animals" s’inscrit dans la continuité festive de ces deux derniers albums, en empruntant à l’Afrique son tempo inexorable et ravageur. Quand l’accordéon nous parle en malgache la guitare lui répond en espagnol, des pianos mélopées percutent de plein fouet des ska galopants, les chansons mexicains parlent de la Seine dans une anarchie harmonieuse, unie par les mots. Les mots de Mano.
En 2007, il revient avec In The Garden, album totalement autoproduit puisque son contrat avec sa maison de disque a été rompu.