Seules les formations de gauche les socialistes, les Verts et la Gauche unitaire (communistes) se sont prononcées pour un nouveau report du scrutin après le second référendum sur le traité de Lisbonne, en Irlande, le 2 octobre.
Le chef de fil des libéraux démocrates, le Belge Guy Verhofstadt, devait proposer d'organiser un second vote une fois le nouveau traité ratifié, mais cette résolution a peu de chances d'aboutir. Et le candidat du Parti populaire européen (PPE), dont est membre l'UMP, a tenté de donner des gages au fil de ses auditions, cette semaine, avec les différents groupes politiques.
Aux socialistes qui lui reprochent d'avoir négligé le social, M. Barroso a promis un règlement sur le détachement des travailleurs d'un pays à l'autre de l'Union, afin de lutter contre le 'dumping social'. Il propose d'évaluer l'impact social de toutes les législations européennes, à commencer par celle, toujours en panne, sur le temps de travail.
Aux libéraux qui critiquent son manque de réactivité face à la crise financière, le candidat sortant a promis de plaider pour la création, à terme, d'un superviseur unique européen. 'Les choses progressent lentement, mais sûrement', a commenté M. Verhofstadt.
D'ores et déjà, les tractations portent sur la répartition des portefeuilles dans la prochaine commission. Pour la première fois, Martin Schulz, le président du groupe des socialistes et démocrates, a revendiqué pour sa famille le poste de haut représentant pour les relations extérieures, une des innovations du traité de Lisbonne. Sans s'engager, M. Barroso a promis de plaider pour une représentation 'équilibrée' au sein du prochain collège.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News
Le chef de fil des libéraux démocrates, le Belge Guy Verhofstadt, devait proposer d'organiser un second vote une fois le nouveau traité ratifié, mais cette résolution a peu de chances d'aboutir. Et le candidat du Parti populaire européen (PPE), dont est membre l'UMP, a tenté de donner des gages au fil de ses auditions, cette semaine, avec les différents groupes politiques.
Aux socialistes qui lui reprochent d'avoir négligé le social, M. Barroso a promis un règlement sur le détachement des travailleurs d'un pays à l'autre de l'Union, afin de lutter contre le 'dumping social'. Il propose d'évaluer l'impact social de toutes les législations européennes, à commencer par celle, toujours en panne, sur le temps de travail.
Aux libéraux qui critiquent son manque de réactivité face à la crise financière, le candidat sortant a promis de plaider pour la création, à terme, d'un superviseur unique européen. 'Les choses progressent lentement, mais sûrement', a commenté M. Verhofstadt.
D'ores et déjà, les tractations portent sur la répartition des portefeuilles dans la prochaine commission. Pour la première fois, Martin Schulz, le président du groupe des socialistes et démocrates, a revendiqué pour sa famille le poste de haut représentant pour les relations extérieures, une des innovations du traité de Lisbonne. Sans s'engager, M. Barroso a promis de plaider pour une représentation 'équilibrée' au sein du prochain collège.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
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