Après les doutes nés de la défaite de samedi à Paris, Puel alignait hier soir, malgré les nombreux absents en défense, une formation tout à fait présentable et d'ailleurs pas si éloignée de l'équipe-type qu'on imaginait en début de saison.
Un Olympique Lyonnais version européenne qui n'avait rien à voir avec le fantôme entrevu ce week-end au Parc. Est-ce l'adversité rencontrée ces derniers temps ou une concentration supérieure à celle du championnat ? Il faut dire que cette fois, Juninho a joué tout le match, Benzema quasiment et Toulalan était là. La clé de voûte de l'édifice lyonnais. Ceci explique sans doute cela.
Au final, Lyon a fait le match que la Fiorentina avait fait à Gerland, mais en mieux. C'est sûr que quand Benzema joue comme ça... Tout seul en pointe, l'attaquant lyonnais a trouvé le moyen d'être doublement décisif, la première fois sur la passe en retrait parfaite pour Makoun, la seconde en solitaire au milieu de trois joueurs de la Viola. Alors il n'a pas été constant tout le match, mais il a fait exactement ce qu'on demande à un attaquant.
Et puis bon, quel match ! Trois buts, trois barres, deux poteaux, je dois avouer que je ne me suis pas ennuyé une seconde devant cette rencontre. La barre transversale de Frey a été la seule à pouvoir empêcher Juni de réaliser un retentissant doublé sur coup-franc. Le premier est absolument extraordinaire... Ceci dit, la reprise de volée d'Ederson n'était pas vilaine non plus.
Si la "Fio" a tapé deux fois les montants de Lloris, elle m'a quand même paru nettement inférieure à l'OL et ses seuls points forts sont finalement ses deux extrémités, Frey et Gilardino. Sur l'ensemble du match Lyon mérite amplement sa victoire... et sa qualification pour les huitièmes de finale, la sixième consécutive. Ce qui est loin d'être anodin.
Le dernier match face au Bayern ne le sera pas non plus - même si les deux équipes sont d'ores et déjà qualifiées - puisqu'il désignera celui qui terminera à la première place de la poule, ce qui peut avoir son importance. En tout cas, se qualifier pour les huitièmes dès le cinquième match, respect.
Mais en dépit de cette belle régularité, c'est en février que les Lyonnais seront véritablement attendus.
Source: Yahoo News
Un Olympique Lyonnais version européenne qui n'avait rien à voir avec le fantôme entrevu ce week-end au Parc. Est-ce l'adversité rencontrée ces derniers temps ou une concentration supérieure à celle du championnat ? Il faut dire que cette fois, Juninho a joué tout le match, Benzema quasiment et Toulalan était là. La clé de voûte de l'édifice lyonnais. Ceci explique sans doute cela.
Au final, Lyon a fait le match que la Fiorentina avait fait à Gerland, mais en mieux. C'est sûr que quand Benzema joue comme ça... Tout seul en pointe, l'attaquant lyonnais a trouvé le moyen d'être doublement décisif, la première fois sur la passe en retrait parfaite pour Makoun, la seconde en solitaire au milieu de trois joueurs de la Viola. Alors il n'a pas été constant tout le match, mais il a fait exactement ce qu'on demande à un attaquant.
Et puis bon, quel match ! Trois buts, trois barres, deux poteaux, je dois avouer que je ne me suis pas ennuyé une seconde devant cette rencontre. La barre transversale de Frey a été la seule à pouvoir empêcher Juni de réaliser un retentissant doublé sur coup-franc. Le premier est absolument extraordinaire... Ceci dit, la reprise de volée d'Ederson n'était pas vilaine non plus.
Si la "Fio" a tapé deux fois les montants de Lloris, elle m'a quand même paru nettement inférieure à l'OL et ses seuls points forts sont finalement ses deux extrémités, Frey et Gilardino. Sur l'ensemble du match Lyon mérite amplement sa victoire... et sa qualification pour les huitièmes de finale, la sixième consécutive. Ce qui est loin d'être anodin.
Le dernier match face au Bayern ne le sera pas non plus - même si les deux équipes sont d'ores et déjà qualifiées - puisqu'il désignera celui qui terminera à la première place de la poule, ce qui peut avoir son importance. En tout cas, se qualifier pour les huitièmes dès le cinquième match, respect.
Mais en dépit de cette belle régularité, c'est en février que les Lyonnais seront véritablement attendus.
Source: Yahoo News