"Nous espérons que l'expansion des biocarburants ne sera pas retardée par des barrières protectionnistes déguisées sous un quelconque prétexte", a déclaré Lula dans son discours de clôture de la conférence qui se tient depuis lundi à Sao Paulo.
Le président brésilien a rappelé que "dans la bataille contre la récession mondiale, les dirigeants du G20 des pays riches et émergents réunis à Washington (le 15 novembre) s'étaient engagés à conclure le cycle de Doha" sur la libéralisation du commerce mondial.
D'où la confiance du président brésilien dans l'élimination des barrières à l'étahnol à base de canne à sucre, dont le Brésil est le second producteur mondial derrière les Etats-Unis qui lui le fabrique à base de maïs.
Lula a dit espérer "qu'un jour, les pays n'imposeront plus de taxe à l'éthanol comme c'est le cas pour le pétrole qui ne fait pas l'objet de taxes".
"Ce ne sont pas tous les pays qui ont du pétrole et les conditions de l'exporter. Imaginez la différence avec les agrocarburants" qui sont "renouvelables et peuvent se produire en cultivant la terre", a souligné le président brésilien.
C'est pourquoi Lula a demandé aux pays riches de favoriser l'expansion de la production d'étanol et de biodiesel dans le monde en voie de développement.
Il a souligné que la crise financière internationale "était la première où les pays riches n'ont pas besoin d'aider les pays pauvres" et selon lui, "la meilleure aide (des riches) serait qu'ils réglementent leurs propres économies, qu'ils évitent la récession et luttent contre le protectionnisme", a -t-il conclu.
La conférence à l'initiative du Brésil pour promouvoir l'éthanol a réuni pendant une semaine les représentants de 44 pays des Amériques, d'Europe et d'Asie.
Source: Yahoo News
Le président brésilien a rappelé que "dans la bataille contre la récession mondiale, les dirigeants du G20 des pays riches et émergents réunis à Washington (le 15 novembre) s'étaient engagés à conclure le cycle de Doha" sur la libéralisation du commerce mondial.
D'où la confiance du président brésilien dans l'élimination des barrières à l'étahnol à base de canne à sucre, dont le Brésil est le second producteur mondial derrière les Etats-Unis qui lui le fabrique à base de maïs.
Lula a dit espérer "qu'un jour, les pays n'imposeront plus de taxe à l'éthanol comme c'est le cas pour le pétrole qui ne fait pas l'objet de taxes".
"Ce ne sont pas tous les pays qui ont du pétrole et les conditions de l'exporter. Imaginez la différence avec les agrocarburants" qui sont "renouvelables et peuvent se produire en cultivant la terre", a souligné le président brésilien.
C'est pourquoi Lula a demandé aux pays riches de favoriser l'expansion de la production d'étanol et de biodiesel dans le monde en voie de développement.
Il a souligné que la crise financière internationale "était la première où les pays riches n'ont pas besoin d'aider les pays pauvres" et selon lui, "la meilleure aide (des riches) serait qu'ils réglementent leurs propres économies, qu'ils évitent la récession et luttent contre le protectionnisme", a -t-il conclu.
La conférence à l'initiative du Brésil pour promouvoir l'éthanol a réuni pendant une semaine les représentants de 44 pays des Amériques, d'Europe et d'Asie.
Source: Yahoo News