Fortis n'avait pas besoin de ça. Le groupe de banque et d'assurance de Belgique et des Pays-Bas, plombé par la crise financière et le lourd rachat de la banque néerlandaise ABN Amro, en grande partie cédé par appartement et au cœur d'une affaire politique qui a vu la démission du Premier ministre belge Yves Leterme sur fond de projet de rachat par BNP Paribas, connait de nouveaux déboires.
Le bancassureur du Bénélux a été victime des récentes baisses du dollar et de la Livre sterling qu'il avait acquis dans l'optique de son rachat partiel par BNP Paribas, aujourd'hui suspendu par une décision de la justice belge et donc menacé. Fortis a donc revendu ces monnaies... avec une forte moins-value. La position nette en liquidités est passée de 2,1 à 1,8 milliard d'euros. Parallèlement, les capitaux propres pro forma revenant aux actionnaires ont été réduits de 6,7 à 6,4 milliards d'euros
Source: Yahoo News
Le bancassureur du Bénélux a été victime des récentes baisses du dollar et de la Livre sterling qu'il avait acquis dans l'optique de son rachat partiel par BNP Paribas, aujourd'hui suspendu par une décision de la justice belge et donc menacé. Fortis a donc revendu ces monnaies... avec une forte moins-value. La position nette en liquidités est passée de 2,1 à 1,8 milliard d'euros. Parallèlement, les capitaux propres pro forma revenant aux actionnaires ont été réduits de 6,7 à 6,4 milliards d'euros
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