"Il est à l'hôpital, il est mourant", a déclaré M. Siala. Une chaîne de télévision britannique a montré des images d'Al-Megrahi, âgé de 57 ans, dans un hôpital de Tripoli, portant un masque à oxygène.
Condamné pour l'attentat contre un Boeing 747 de la PanAm qui avait explosé au-dessus de Lockerbie (Ecosse) faisant 270 morts en 1988, Al-Megrahi a été libéré le 20 août pour raisons humanitaires de sa prison écossaise, les médecins ayant estimé qu'il était en train de mourir d'un cancer de la prostate. Il a pu rentrer en Libye, où son accueil en héros a été dénoncé par plusieurs pays occidentaux.
Al-Megrahi a subi des examens médicaux approfondis avant que les autorités écossaises ne confirment le diagnostic de cancer, mais la gravité de son état de santé a suscité des interrogations.
Dans un entretien publié mercredi dernier par le quotidien "Asharq Al-Awssat", basé à Londres, le père d'Al-Megrahi avait affirmé que son fils n'était pas mourant. "Ce n'est pas aussi grave que certains médias l'ont dit", avait-il déclaré.
Ancien officier des services de renseignement libyens, Abdelbaset Ali al-Megrahi, arrêté en 1991 en Libye et assigné à résidence, avait été livré à la justice écossaise en 1998. Condamné en 2001 à la perpétuité avec une peine de sûreté de 27 ans par un tribunal spécial écossais siégeant aux Pays-Bas, il n'en aura purgé que huit.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Condamné pour l'attentat contre un Boeing 747 de la PanAm qui avait explosé au-dessus de Lockerbie (Ecosse) faisant 270 morts en 1988, Al-Megrahi a été libéré le 20 août pour raisons humanitaires de sa prison écossaise, les médecins ayant estimé qu'il était en train de mourir d'un cancer de la prostate. Il a pu rentrer en Libye, où son accueil en héros a été dénoncé par plusieurs pays occidentaux.
Al-Megrahi a subi des examens médicaux approfondis avant que les autorités écossaises ne confirment le diagnostic de cancer, mais la gravité de son état de santé a suscité des interrogations.
Dans un entretien publié mercredi dernier par le quotidien "Asharq Al-Awssat", basé à Londres, le père d'Al-Megrahi avait affirmé que son fils n'était pas mourant. "Ce n'est pas aussi grave que certains médias l'ont dit", avait-il déclaré.
Ancien officier des services de renseignement libyens, Abdelbaset Ali al-Megrahi, arrêté en 1991 en Libye et assigné à résidence, avait été livré à la justice écossaise en 1998. Condamné en 2001 à la perpétuité avec une peine de sûreté de 27 ans par un tribunal spécial écossais siégeant aux Pays-Bas, il n'en aura purgé que huit.
Source: Associated Presse via Yahoo News