"Il n'y a pas pour le moment d'interpellation, les personnes sont entendues comme témoins", précisait-on de source judiciaire. "Si des éléments probants étaient trouvés, cela pourrait évoluer vers des gardes à vue".
Les perquisitions étaient menées par les enquêteurs de la Sous-direction antiterroriste (SDAT) et de la Direction interrégionale de police judiciaire de Montpellier chargés de l'enquête sur la quinzaine de courriers anonymes assortis de munitions qui ont été envoyés au Président de la République mais aussi à des personnalités politiques et médiatiques.
Un informaticien de Montpellier avait été placé en garde à vue dans cette affaire mais a été relâché sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui.
Source: Yahoo News
Les perquisitions étaient menées par les enquêteurs de la Sous-direction antiterroriste (SDAT) et de la Direction interrégionale de police judiciaire de Montpellier chargés de l'enquête sur la quinzaine de courriers anonymes assortis de munitions qui ont été envoyés au Président de la République mais aussi à des personnalités politiques et médiatiques.
Un informaticien de Montpellier avait été placé en garde à vue dans cette affaire mais a été relâché sans qu'aucune charge ne soit retenue contre lui.
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