Ils étaient des centaines de travailleurs de Jean Lefebvre Sénégal (JLS) appuyés par certains syndicats de travail à marcher entre la place de l’obélisque et les grilles de la Rts pour réclamer ce que leur doit l’Etat du Sénégal qui nie toujours cette dette.
Habillés en T-shirts et brandissant des pancartes où étaient écrits leurs cris de cœur, les marcheurs sont très remontés contre le fils du chef de l’Etat le ministre d’état Karim Wade qu’ils accusent d’être le bourreau et demandent à ce que ce dernier soit freiner dans on entreprise démoniaque de déstabilisation et de mise en faillite de leur outil de travail. «Halte au bourreau Karim Wade et son fusil l’AATR» ont exigé les travailleurs sous la supervision de Bara Tall leur patron. L’AATR est pointée du doigt par ces travailleurs qui déclarent que «l’AATR est le bras armé pour la destruction de l’entreprise Jean Lefebvre Sénégal».
Karim Wade est selon les travailleurs, le principal coupable du bras de fer entre l’Etat et cette entreprise. Les huit mois sans salaires ont plongé plus de trois mille familles de cette entreprise dans la misère et le désarroi. La dette que doit l’Etat du Sénégal à l’entrepreneur Bara Tall qui a alimenté une certaine controverse entre le ministre des finances Abdoulaye Diop et Bara Tall, est réaffirmée par les travailleurs qui l’évaluent à près de dix milliards de nos francs.
Les marchés de gré à gré sont aussi déplorés par les travailleurs qui souhaitent être sollicités. «Halte à la corruption dans les marchés des infrastructures pour la sauvegarde des emplois dans le secteur du BTP. L’Etat détourne tous les marchés vers l’extérieur» ont râlé les marcheurs. Mamadou Ngom, le secrétaire général du SAT /BTP dévoile les dessous de ce dossier qui glisse vers une fin regrettable.
«Depuis les chantiers de Thiès, un problème politico politicien est né entre Bara Tall et l’Etat du Sénégal. La diversion que l’Etat fait dans la dette intérieure n’est pas vraie, il nous doit près de dix milliards. Une partie de cette dette est versée à l’ANOCI pour la construction des villas qui ne sont malheureusement pas construites» a dénoncé Mamadou Ngom.
Cette marche n’est qu’un signal fort lancé au Président Wade pour apporter un climat apaisé sur cette affaire. «Toutes les voies normales seront usées pour avoir satisfaction totale» a promis M Ngom. Les leaders de l’opposition qui se trouvent toujours une tribune en ces temps de crises pour montrer leur affection aux populations étaient présents.
Tanor Dieng, Abdoulaye Bathily, Amath Dansokho soutiennent les travailleurs ou du moins se soutiennent eux-mêmes ?
Source: Rewmi
Habillés en T-shirts et brandissant des pancartes où étaient écrits leurs cris de cœur, les marcheurs sont très remontés contre le fils du chef de l’Etat le ministre d’état Karim Wade qu’ils accusent d’être le bourreau et demandent à ce que ce dernier soit freiner dans on entreprise démoniaque de déstabilisation et de mise en faillite de leur outil de travail. «Halte au bourreau Karim Wade et son fusil l’AATR» ont exigé les travailleurs sous la supervision de Bara Tall leur patron. L’AATR est pointée du doigt par ces travailleurs qui déclarent que «l’AATR est le bras armé pour la destruction de l’entreprise Jean Lefebvre Sénégal».
Karim Wade est selon les travailleurs, le principal coupable du bras de fer entre l’Etat et cette entreprise. Les huit mois sans salaires ont plongé plus de trois mille familles de cette entreprise dans la misère et le désarroi. La dette que doit l’Etat du Sénégal à l’entrepreneur Bara Tall qui a alimenté une certaine controverse entre le ministre des finances Abdoulaye Diop et Bara Tall, est réaffirmée par les travailleurs qui l’évaluent à près de dix milliards de nos francs.
Les marchés de gré à gré sont aussi déplorés par les travailleurs qui souhaitent être sollicités. «Halte à la corruption dans les marchés des infrastructures pour la sauvegarde des emplois dans le secteur du BTP. L’Etat détourne tous les marchés vers l’extérieur» ont râlé les marcheurs. Mamadou Ngom, le secrétaire général du SAT /BTP dévoile les dessous de ce dossier qui glisse vers une fin regrettable.
«Depuis les chantiers de Thiès, un problème politico politicien est né entre Bara Tall et l’Etat du Sénégal. La diversion que l’Etat fait dans la dette intérieure n’est pas vraie, il nous doit près de dix milliards. Une partie de cette dette est versée à l’ANOCI pour la construction des villas qui ne sont malheureusement pas construites» a dénoncé Mamadou Ngom.
Cette marche n’est qu’un signal fort lancé au Président Wade pour apporter un climat apaisé sur cette affaire. «Toutes les voies normales seront usées pour avoir satisfaction totale» a promis M Ngom. Les leaders de l’opposition qui se trouvent toujours une tribune en ces temps de crises pour montrer leur affection aux populations étaient présents.
Tanor Dieng, Abdoulaye Bathily, Amath Dansokho soutiennent les travailleurs ou du moins se soutiennent eux-mêmes ?
Source: Rewmi