0,3% seulement de baisse
Pas d’avancée en 2022 comparativement à 2021. C’est un bilan décourageant de toute façon lorsqu’on comptait un peu plus sur Macron pour améliorer l’émission de gaz à effet de serre de la république française. Malheureusement, rien n’a véritablement bougé. Provisoirement, le Citepa a déposé ses données qui ne sont du tout pas encourageantes. On estime à seulement environ 0,3% la baisse enregistrée pour les 9 premiers mois de l’année, comparativement à la même période pour l’année dernière.
Personne ne pouvait imaginer un si petit pas au regard des engagements pris par la France dans ce sens. Les personnes avertis ne sont pourtant pas étonnées face à ce chiffre. Qu’il vous souvienne que l’année dernière l’Etat français a été condamné pour « inaction climatique ». L’homme à la base de cette initiative n’est du tout pas surpris. Jérémie Suissa puisque c’est de lui qu’il s’agit, pense que le miracle n’était pas possible.
Personne ne pouvait imaginer un si petit pas au regard des engagements pris par la France dans ce sens. Les personnes avertis ne sont pourtant pas étonnées face à ce chiffre. Qu’il vous souvienne que l’année dernière l’Etat français a été condamné pour « inaction climatique ». L’homme à la base de cette initiative n’est du tout pas surpris. Jérémie Suissa puisque c’est de lui qu’il s’agit, pense que le miracle n’était pas possible.
Pourquoi seulement 0,3% de baisse d’émission de CO2 en 2022 ?
Pour les plus écologiques aucune raison ne devrait justifier une inaction climatique mais la réalité au fond est autre. Il faut remarquer dans un premier temps que la France était confrontée à une indisponibilité de son parc de 56 réacteurs nucléaires. Il y avait des problèmes de microfissures, ce qui n’est pas resté sans impact sur la production d’électricité. Il fallait combler ce manque nécessaire en consommant plus de gaz pour produire l’électricité. Avec 26 réacteurs à l'arrêt, c'est environ 12% de plus de production d’énergie.
La guerre en Ukraine y trouve aussi une part de responsabilité. Cette guerre a provoqué une crise énergétique sans pareille. La fermeture de la centrale à charbon de Saint-Avold en Moselle ne pouvait plus être possible. Le choix de non fermeture fait par le gouvernement pour l’hiver ne manque tout de même pas de pertinence. Il faut regarder aussi du côté des transports où le Citepa dénonce une augmentation d’émission de gaz allant à 4%.
L’effort de la France est resté invisible au regard de ses objectifs visant à réduire de 40% ses émissions de gaz d’ici 2030.
La guerre en Ukraine y trouve aussi une part de responsabilité. Cette guerre a provoqué une crise énergétique sans pareille. La fermeture de la centrale à charbon de Saint-Avold en Moselle ne pouvait plus être possible. Le choix de non fermeture fait par le gouvernement pour l’hiver ne manque tout de même pas de pertinence. Il faut regarder aussi du côté des transports où le Citepa dénonce une augmentation d’émission de gaz allant à 4%.
L’effort de la France est resté invisible au regard de ses objectifs visant à réduire de 40% ses émissions de gaz d’ici 2030.