Un responsable de Total au Yémen a confirmé la prise du remorqueur expliquant que des membres d'équipage indonésiens et d'autres nationalités se trouvaient à bord. A Paris, un porte-parole de Total Kevin Church a précisé qu'un remorqueur et une barge avaient été saisis, mais qu'ils appartenaient à un sous-traitant de Total.
De son côté, la marine américaine a confirmé qu'un cargo de 110 mètres de long appartenant à la compagnie Isko Marine avait été saisi par les pirates, selon le porte-parole de la marine américaine Nathan Christensen.
Les pirates ont pris une quarantaine de navires depuis le début de l'année au large des 3.000km de côtes somaliennes. Avant les derniers abordages, les autorités maritimes recensaient 14 navires aux mains des pirates, dont un pétrolier saoudien chargé de 100 millions de dollars de brut et un navire ukrainien transportant des chars et des armes lourdes. Plus de 250 membres d'équipage sont captifs.
Antonio Maria Costa, directeur exécutif de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), a proposé mardi que les pirates interceptés au large de la Corne de l'Afrique soient jugés dans la région.
"On ne peut pas jeter les pirates par dessus bord ou les forcer à sauter d'une planche", a-t-il expliqué. "Il faut les traduire en justice".
L'option la plus réaliste seraient selon lui que les pirates soient arrêtés par des policiers locaux à bord de bateaux et jugés dans la région. L'ONUDC a encouragé ainsi les pays de la région comme Djibouti, le Kenya, la Tanzanie et le Yémen à conclure un accord spécial sur cette question et à déployer des policiers dans la région.
Source: Yahoo News
De son côté, la marine américaine a confirmé qu'un cargo de 110 mètres de long appartenant à la compagnie Isko Marine avait été saisi par les pirates, selon le porte-parole de la marine américaine Nathan Christensen.
Les pirates ont pris une quarantaine de navires depuis le début de l'année au large des 3.000km de côtes somaliennes. Avant les derniers abordages, les autorités maritimes recensaient 14 navires aux mains des pirates, dont un pétrolier saoudien chargé de 100 millions de dollars de brut et un navire ukrainien transportant des chars et des armes lourdes. Plus de 250 membres d'équipage sont captifs.
Antonio Maria Costa, directeur exécutif de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), a proposé mardi que les pirates interceptés au large de la Corne de l'Afrique soient jugés dans la région.
"On ne peut pas jeter les pirates par dessus bord ou les forcer à sauter d'une planche", a-t-il expliqué. "Il faut les traduire en justice".
L'option la plus réaliste seraient selon lui que les pirates soient arrêtés par des policiers locaux à bord de bateaux et jugés dans la région. L'ONUDC a encouragé ainsi les pays de la région comme Djibouti, le Kenya, la Tanzanie et le Yémen à conclure un accord spécial sur cette question et à déployer des policiers dans la région.
Source: Yahoo News