Le signal très faible émis par les balises de ces boîtes a été capté par les bâtiments de la Marine française et le sous-marin de poche Nautile de l'Ifremer a plongé lundi pour tenter de les localiser, écrit le quotidien.
Ni Air France ni le Bureau enquête et analyses (BEA) n'ont confirmé l'information dans l'immédiat.
"Ce n'est pas la première fois qu'on entend des bruits, donc on va vérifier avec les moyens qui sont mis à disposition", a déclaré une porte-parole du BEA.
"Les recherches continuent et on n'a pas localisé les enregistreurs", a-t-elle ajouté.
"En l'état actuel de nos informations, nous n'avons pas d'élément qui nous permette de confirmer", a déclaré pour sa part une porte-parole d'Air France.
Les balises de ces boîtes disposent encore d'une autonomie d'une huitaine de jours.
L'Airbus A330, qui assurait le vol AF447 entre Rio et Paris, s'est abîmé dans l'Atlantique le 1er juin, faisant 228 morts, dont 72 français. Aucune hypothèse officielle n'a pu encore être avancée sur les causes de la catastrophe.
Source: Reuters via Yahoo News
Ni Air France ni le Bureau enquête et analyses (BEA) n'ont confirmé l'information dans l'immédiat.
"Ce n'est pas la première fois qu'on entend des bruits, donc on va vérifier avec les moyens qui sont mis à disposition", a déclaré une porte-parole du BEA.
"Les recherches continuent et on n'a pas localisé les enregistreurs", a-t-elle ajouté.
"En l'état actuel de nos informations, nous n'avons pas d'élément qui nous permette de confirmer", a déclaré pour sa part une porte-parole d'Air France.
Les balises de ces boîtes disposent encore d'une autonomie d'une huitaine de jours.
L'Airbus A330, qui assurait le vol AF447 entre Rio et Paris, s'est abîmé dans l'Atlantique le 1er juin, faisant 228 morts, dont 72 français. Aucune hypothèse officielle n'a pu encore être avancée sur les causes de la catastrophe.
Source: Reuters via Yahoo News