Hausse de la TVA oblige (à 23 % bientôt), l'épicier de son quartier va faire grimper le prix de la bière de 1,05 euro actuellement à 1,20 euro 'et je ne vous parle pas des 5 euros qu'on paye dans les cafés d'Athènes'. Dans le même temps, son revenu d'enseignant est promis à l'amputation : ses 18 800 euros annuels vont maigrir d'un coup de 2500 euros. Adieu le petit commerce et le marché en plein air du samedi matin ! Georgios Nikolakopoulos ira acheter bière et légumes dans les magasins discount.
Dépenser moins ou travailler plus ? Tel est le dilemme des Grecs. Certains optent pour le serrage de ceinture : l'un prévoit de ne plus partir en vacances à l'étranger, l'autre d'acheter moins de livres ou de limiter ses sorties cinéma. Mais beaucoup essayent de trouver le travail au noir, éventuellement qui leur permettra de mettre un peu de beurre dans les épinards.
Source: lemonde.fr via Yahoo
Europe
05/05/2010 12:51
Les Grecs sont comme des petits enfants
On manifeste et on proteste... tout en prenant sa calculette. Devant les mesures d'austérité qui s'annoncent, Georgios Nikolakopoulos.
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