58% des personnes interrogées (+2 points par rapport à janvier 2007) jugent aujourd'hui la politique économique du gouvernement "mauvaise" (37% plutôt mauvaise et 21% très mauvaise), contre 36% qui l'apprécient (2% très bonne et 34% plutôt bonne).
"Hormis les sympathisants de l'UMP, l'impopularité est aujourd'hui majoritaire auprès de toutes les catégories de la population, y compris auprès des jeunes et des travailleurs indépendants qui étaient en janvier les dernières catégories à soutenir la politique économique du gouvernement", souligne BVA.
"Plus préoccupant encore, le moral des Français qui avait bondi de manière spectaculaire après l'élection de Nicolas Sarkozy retombe à un niveau de pessimisme encore plus profond que celui, jusqu'alors record, des ères Raffarin et Villepin", ajout l'institut.
72% des personnes interrogées se déclarent "moins confiantes" dans l'avenir économique, contre seulement 36% en juin 2007.
Par ailleurs, "les récentes décisions sur la non-déréglementation des taxis et la hausse du minimum vieillesse sont perçues comme de l'indécision et de l'électoralisme", indique BVA, alors que 69% des personnes interrogées jugent que ces décisions montrent que le gouvernement "ne sait pas où il va et qu'il ne fait que réagir aux prochaines élections municipales".
Enfin, les 2/3 des sondés (67%) trouvent "justifié" le mouvement des salariés de l'audiovisuel public contre la suppression de la publicité sur leurs antennes.
"Renverser cette tendance sera sans doute difficile et long, et passera bien davantage par de meilleurs résultats économiques (notamment sur le front du pouvoir d'achat) que par une moindre ostentation de la vie privée du chef de l'Etat", commente BVA.
Le sondage a été réalisé par téléphone les 15 et les 16 février après d'un échantillon de 1.001 personnes représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus.
Yahoo.fr
"Hormis les sympathisants de l'UMP, l'impopularité est aujourd'hui majoritaire auprès de toutes les catégories de la population, y compris auprès des jeunes et des travailleurs indépendants qui étaient en janvier les dernières catégories à soutenir la politique économique du gouvernement", souligne BVA.
"Plus préoccupant encore, le moral des Français qui avait bondi de manière spectaculaire après l'élection de Nicolas Sarkozy retombe à un niveau de pessimisme encore plus profond que celui, jusqu'alors record, des ères Raffarin et Villepin", ajout l'institut.
72% des personnes interrogées se déclarent "moins confiantes" dans l'avenir économique, contre seulement 36% en juin 2007.
Par ailleurs, "les récentes décisions sur la non-déréglementation des taxis et la hausse du minimum vieillesse sont perçues comme de l'indécision et de l'électoralisme", indique BVA, alors que 69% des personnes interrogées jugent que ces décisions montrent que le gouvernement "ne sait pas où il va et qu'il ne fait que réagir aux prochaines élections municipales".
Enfin, les 2/3 des sondés (67%) trouvent "justifié" le mouvement des salariés de l'audiovisuel public contre la suppression de la publicité sur leurs antennes.
"Renverser cette tendance sera sans doute difficile et long, et passera bien davantage par de meilleurs résultats économiques (notamment sur le front du pouvoir d'achat) que par une moindre ostentation de la vie privée du chef de l'Etat", commente BVA.
Le sondage a été réalisé par téléphone les 15 et les 16 février après d'un échantillon de 1.001 personnes représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus.
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