S'il espère voir le XV de France attaquer depuis ses 22 mètres et prendre les grands espaces, le public du Stade de France risque de rester sur sa faim dimanche pour la venue de l'Italie. Vendu comme prenable et plutôt balourd dans ses lignes arrière, l'adversaire du jour incite à un rugby plus ouvert et à invoquer la mystique du french-flair. L'entraîneur des lignes arrière, Emile N'Tamack, a bien senti le danger. «Même s'il nous faudra montrer davantage d'intention qu'en deuxième mi-temps face à Galles, on ne va pas tomber dans un rugby fandango.» Pour ceux qui l'ignorent, le fandango est une danse andalouse traditionnelle accompagnée de castagnettes. Un rugby olé-olé en quelque sorte.
France ' Italie c'est à suivre en live comme à-la-maison à partir de 15h30 sur 20minutes.fr
Aux castagnettes, Marc Lièvremont et son encadrement préfèrent une valse basique en deux temps. Récupération du ballon et occupation du terrain. Le sélectionneur a insisté cette semaine sur le danger représenté par cette équipe hérisson qu'est l'Italie. «Les Italiens ne produisent pas énormément de jeu et laissent le soin à l'adversaire de le faire. On sait que l'on va devoir faire le jeu», s'inquiète le Catalan qui n'oublie que les deux essais français contre les Gallois résultent de deux interceptions.
Sérieux et pragmatisme, le message paraît reçu cinq sur cinq par ses troupes à l'image du pilier Thomas Domingo: «C'est à nous de ne pas tomber dans le panneau, de ne pas se laisser aller contre une équipe soit disant inférieure.» Peu importe la manière ou l'écart, pourvu qu'il y ait la victoire et surtout la perspective du Grand Chelem le 20 mars prochain contre l'Angleterre.
Source: 20minutes.fr via Yahoo
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Aux castagnettes, Marc Lièvremont et son encadrement préfèrent une valse basique en deux temps. Récupération du ballon et occupation du terrain. Le sélectionneur a insisté cette semaine sur le danger représenté par cette équipe hérisson qu'est l'Italie. «Les Italiens ne produisent pas énormément de jeu et laissent le soin à l'adversaire de le faire. On sait que l'on va devoir faire le jeu», s'inquiète le Catalan qui n'oublie que les deux essais français contre les Gallois résultent de deux interceptions.
Sérieux et pragmatisme, le message paraît reçu cinq sur cinq par ses troupes à l'image du pilier Thomas Domingo: «C'est à nous de ne pas tomber dans le panneau, de ne pas se laisser aller contre une équipe soit disant inférieure.» Peu importe la manière ou l'écart, pourvu qu'il y ait la victoire et surtout la perspective du Grand Chelem le 20 mars prochain contre l'Angleterre.
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