Le coup de bluff tenté, samedi 14 novembre, à Croke Park contre Raymond (dit 'Ray') Domenech et ses hommes a échoué. Le rêve de ne pas laisser l'Angleterre représenter seule les îles britanniques en Afrique du Sud pour la Coupe du monde 2010 s'éloigne.
Heureusement, le camp d'en face cache sa joie, ce qui aide à faire passer la pilule. L'allégresse qui régnait sur les visages français à la sortie des vestiaires pouvait laisser croire qu'ils avaient au mieux rapporté un match nul de leur week-end à Dublin. 'Je ne suis pas heureux ce soir, je ne le serai qu'à la fin du deuxième match', affirmait le défenseur Bakary Sagna.
Aux débordements émotionnels et sarcastiques des Celtes, les Bleus opposent un froid professionnalisme : la satisfaction du devoir accompli ne doit pas occulter qu'il faudra 'finir le boulot' mercredi 18 novembre au Stade de France (Saint-Denis), selon la formule d'Eric Abidal. Le défenseur de Barcelone a commis, dans les dernières minutes du match, une bourde qui a failli grever son impeccable prestation. Il peut remercier le gardien des Bleus, le Lyonnais Hugo Lloris, impérial au sol et dans les airs.
Reste que le moral de l'adversaire, sa force essentielle, est bel et bien atteint. 'On est venu ici pour prendre cet avantage psychologique, mais il faut être prudent pour se qualifier mercredi devant notre public', observe l'attaquant André-Pierre Gignac. Un match nul sera suffisant. Seule une défaite éliminerait la France, à l'exception d'un 1-0 qui relancerait le suspense avec des prolongations, voire une séance de tirs au but.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News
Heureusement, le camp d'en face cache sa joie, ce qui aide à faire passer la pilule. L'allégresse qui régnait sur les visages français à la sortie des vestiaires pouvait laisser croire qu'ils avaient au mieux rapporté un match nul de leur week-end à Dublin. 'Je ne suis pas heureux ce soir, je ne le serai qu'à la fin du deuxième match', affirmait le défenseur Bakary Sagna.
Aux débordements émotionnels et sarcastiques des Celtes, les Bleus opposent un froid professionnalisme : la satisfaction du devoir accompli ne doit pas occulter qu'il faudra 'finir le boulot' mercredi 18 novembre au Stade de France (Saint-Denis), selon la formule d'Eric Abidal. Le défenseur de Barcelone a commis, dans les dernières minutes du match, une bourde qui a failli grever son impeccable prestation. Il peut remercier le gardien des Bleus, le Lyonnais Hugo Lloris, impérial au sol et dans les airs.
Reste que le moral de l'adversaire, sa force essentielle, est bel et bien atteint. 'On est venu ici pour prendre cet avantage psychologique, mais il faut être prudent pour se qualifier mercredi devant notre public', observe l'attaquant André-Pierre Gignac. Un match nul sera suffisant. Seule une défaite éliminerait la France, à l'exception d'un 1-0 qui relancerait le suspense avec des prolongations, voire une séance de tirs au but.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr
Source: Le Monde via Yahoo News