"Je remets le pouvoir entre les mains des nouvelles autorités avec le cœur lourd", déclare le président démissionnaire dans un communiqué diffusé par la presse.
Voronine, qui était à la tête de l'ex-république soviétique depuis 2001, ne pouvait constitutionnellement briguer un troisième mandat. Il avait informé la semaine dernière ses partisans communistes qu'il quitterait le pouvoir à la suite de la victoire des partis de l'opposition pro-occidentale aux législatives de juillet.
Mais son départ de la présidence ne signifie pas qu'il se retire de la vie politique moldave.
"Je ne crois pas que les politiciens qui ne se sont unis que sur la base d'un dénigrement de leur propre pays et d'un partage des principaux postes puissent offrir un programme positif à la société", ajoute Voronine, 68 ans, qui a annoncé la semaine dernière son intention de redevenir un parlementaire.
Il revient aux quatre partis vainqueurs du Parti communiste lors des législatives anticipées du 29 juillet de former le gouvernement. Mais il manque à cette coalition huit voix au Parlement pour faire élire le futur président de son choix.
La Moldavie, pays le plus pauvre d'Europe, est confrontée à un choix classique pour les ex-républiques soviétiques d'Europe de l'Est entre un rapprochement avec l'Union européenne et un resserrement de ses liens avec Moscou.
Source: Reuters via Yahoo News
Voronine, qui était à la tête de l'ex-république soviétique depuis 2001, ne pouvait constitutionnellement briguer un troisième mandat. Il avait informé la semaine dernière ses partisans communistes qu'il quitterait le pouvoir à la suite de la victoire des partis de l'opposition pro-occidentale aux législatives de juillet.
Mais son départ de la présidence ne signifie pas qu'il se retire de la vie politique moldave.
"Je ne crois pas que les politiciens qui ne se sont unis que sur la base d'un dénigrement de leur propre pays et d'un partage des principaux postes puissent offrir un programme positif à la société", ajoute Voronine, 68 ans, qui a annoncé la semaine dernière son intention de redevenir un parlementaire.
Il revient aux quatre partis vainqueurs du Parti communiste lors des législatives anticipées du 29 juillet de former le gouvernement. Mais il manque à cette coalition huit voix au Parlement pour faire élire le futur président de son choix.
La Moldavie, pays le plus pauvre d'Europe, est confrontée à un choix classique pour les ex-républiques soviétiques d'Europe de l'Est entre un rapprochement avec l'Union européenne et un resserrement de ses liens avec Moscou.
Source: Reuters via Yahoo News