Selon le président iranien, les pays occidentaux ont ignoré les critiques contre Israël pendant 50 ans. "Maintenant il est temps d'ouvrir vos oreilles et de fermer vos bouches", a-t-il averti à la télévision d'Etat.
Lundi, Mahmoud Ahmadinejad avait qualifié le régime israélien de "cruel" et "raciste" lors de la conférence sur le racisme de l'ONU, organisée à Genève, conduisant de nombreuses délégations, dont les diplomates européens, à quitter à la salle. Son discours avait été interrompu à plusieurs reprises par des manifestants.
Ces attaques répétées contre Israël - allié des Etats-Unis dans la région- interviennent alors que l'administration Obama tentait d'instaurer un dialogue avec l'Iran après des décennies de rupture.
La secrétaire d'Etat Hillary Clinton s'est exprimée mercredi sur le sujet devant les parlementaires américains: "En fait, nous pensons qu'en suivant le chemin diplomatique sur lequel nous sommes, nous gagnons de la crédibilité et de l'influence avec un certain nombre de pays qui devraient participer à la prise de sanctions, pour les rendre aussi sévères et efficaces que possible", a-t-elle affirmé, évoquant d'éventuelles sanctions internationales en cas d'échec de la diplomatie.
Source: Yahoo News
Lundi, Mahmoud Ahmadinejad avait qualifié le régime israélien de "cruel" et "raciste" lors de la conférence sur le racisme de l'ONU, organisée à Genève, conduisant de nombreuses délégations, dont les diplomates européens, à quitter à la salle. Son discours avait été interrompu à plusieurs reprises par des manifestants.
Ces attaques répétées contre Israël - allié des Etats-Unis dans la région- interviennent alors que l'administration Obama tentait d'instaurer un dialogue avec l'Iran après des décennies de rupture.
La secrétaire d'Etat Hillary Clinton s'est exprimée mercredi sur le sujet devant les parlementaires américains: "En fait, nous pensons qu'en suivant le chemin diplomatique sur lequel nous sommes, nous gagnons de la crédibilité et de l'influence avec un certain nombre de pays qui devraient participer à la prise de sanctions, pour les rendre aussi sévères et efficaces que possible", a-t-elle affirmé, évoquant d'éventuelles sanctions internationales en cas d'échec de la diplomatie.
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