Il a cependant réitéré son refus catégorique de renoncer à l'enrichissement d'uranium et autres activités du programme nucléaire iranien soupçonnées de relever d'un volet militaire clandestin, même en échange d'un assouplissement des sanctions ou d'autres incitations.
La question du nucléaire "est close", a tranché Mahmoud Ahmedinejad lors d'une conférence de presse à Téhéran.
Barack Obama a appelé l'Iran à "s'engager sérieusement" dans un processus de relance des relations bilatérales avec les Etats-Unis après le scrutin présidentiel du 12 juin. Le président américain a toutefois prévenu la semaine dernière que son pays était prêt à demander un renforcement des sanctions internationales si Téhéran repoussait les tentatives de négociations sur son programme nucléaire.
Il a donné à l'Iran jusqu'à la fin de l'année pour se décider, adressant ainsi indirectement un message aux électeurs, qui choisiront entre l'ultraradical Ahmadinejad et trois rivaux plus ouverts à une détente avec l'Occident: un autre conservateur, l'ancien chef des Gardiens de la Révolution, les pasdarans, Mohsen Rezaie, et deux candidats réformateurs, l'influent ancien Premier ministre Mir Hossein Moussavi et l'ex-président du Parlement Mehdi Karoubi.
L'offre de dialogue de M. Ahmadinejad peut donc être la réponse à ces électeurs. Le président iranien s'est dit ouvert "à débattre des questions mondiales ainsi que de la paix et de la sécurité dans le monde" à l'occasion de l'Assemblée générale de l'ONU en septembre. Pour l'heure, Washington n'a pas réagi.
Source: Associated Presse via Yahoo News
La question du nucléaire "est close", a tranché Mahmoud Ahmedinejad lors d'une conférence de presse à Téhéran.
Barack Obama a appelé l'Iran à "s'engager sérieusement" dans un processus de relance des relations bilatérales avec les Etats-Unis après le scrutin présidentiel du 12 juin. Le président américain a toutefois prévenu la semaine dernière que son pays était prêt à demander un renforcement des sanctions internationales si Téhéran repoussait les tentatives de négociations sur son programme nucléaire.
Il a donné à l'Iran jusqu'à la fin de l'année pour se décider, adressant ainsi indirectement un message aux électeurs, qui choisiront entre l'ultraradical Ahmadinejad et trois rivaux plus ouverts à une détente avec l'Occident: un autre conservateur, l'ancien chef des Gardiens de la Révolution, les pasdarans, Mohsen Rezaie, et deux candidats réformateurs, l'influent ancien Premier ministre Mir Hossein Moussavi et l'ex-président du Parlement Mehdi Karoubi.
L'offre de dialogue de M. Ahmadinejad peut donc être la réponse à ces électeurs. Le président iranien s'est dit ouvert "à débattre des questions mondiales ainsi que de la paix et de la sécurité dans le monde" à l'occasion de l'Assemblée générale de l'ONU en septembre. Pour l'heure, Washington n'a pas réagi.
Source: Associated Presse via Yahoo News