Vers 11h10 GMT, le contrat décembre sur le brut léger américain perdait 1,64 dollar, soit 2,56%, à 62,51 dollars le baril et le Brent cédait 1,57 dollar (-2,53%) à 60,48 dollars.
Le brut léger était auparavant tombé à 61,30 dollars, son plus bas niveau depuis mai 2007.
Pour de nombreux intervenants, la réduction de 1,5 million de barils de la production de l'Opep décidée en urgence par le cartel vendredi à Vienne ne suffira pas à interrompre la chute des cours.
"Je pense que l'Opep a effectivement pris une décision assez marquante mais le marché pétrolier ne se concentre à l'évidence en ce moment que sur les problèmes économiques", a expliqué David Moore, stratège matières premières de la Commonwealth Bank of Australia.
Le geste de l'Opep destiné à réduire l'offre pour tenter de soutenir les prix a de fait répondu à la multiplication de signes de diminution de la demande, entre autres aux Etats-Unis, premier consommateur mondial de produits pétroliers.
Au Japon, le raffineur Nippon Oil a annoncé qu'il réduirait sa production de 15% en novembre par rapport à l'an dernier. En Chine, la hausse de la demande pétrolière n'a été que d'un peu plus de 2% en septembre, son rythme le plus bas depuis 10 mois.
Le baril affiche désormais un plongeon de plus de 57% par rapport à ses records d'il y a trois mois et demi à plus de 147 dollars.
Le marché attend désormais de pouvoir mesurer la réalité de la baisse de la production Opep.
Source: Yahoo News
Le brut léger était auparavant tombé à 61,30 dollars, son plus bas niveau depuis mai 2007.
Pour de nombreux intervenants, la réduction de 1,5 million de barils de la production de l'Opep décidée en urgence par le cartel vendredi à Vienne ne suffira pas à interrompre la chute des cours.
"Je pense que l'Opep a effectivement pris une décision assez marquante mais le marché pétrolier ne se concentre à l'évidence en ce moment que sur les problèmes économiques", a expliqué David Moore, stratège matières premières de la Commonwealth Bank of Australia.
Le geste de l'Opep destiné à réduire l'offre pour tenter de soutenir les prix a de fait répondu à la multiplication de signes de diminution de la demande, entre autres aux Etats-Unis, premier consommateur mondial de produits pétroliers.
Au Japon, le raffineur Nippon Oil a annoncé qu'il réduirait sa production de 15% en novembre par rapport à l'an dernier. En Chine, la hausse de la demande pétrolière n'a été que d'un peu plus de 2% en septembre, son rythme le plus bas depuis 10 mois.
Le baril affiche désormais un plongeon de plus de 57% par rapport à ses records d'il y a trois mois et demi à plus de 147 dollars.
Le marché attend désormais de pouvoir mesurer la réalité de la baisse de la production Opep.
Source: Yahoo News