«L'avenir du football se joue dans la rénovation des stades. Il y a quelques années quand je suis arrivé à la Ligue, j'avais posé le diagnostic suivant : la France avait deux retards, les droits TV et les stades pour être sur le podium des championnats européens. En ce qui concerne les droits TV, le retard a été comblé pour le moment, mais dans le domaine des stades nous avons 15 ans de retard à rattraper, c'est vital. Il existe des raisons structurelles à ce retard. De tout temps, les municipalités ont été propriétaires des stades, hors aujourd'hui à l'époque du professionnalisme, les contribuables ne comprendraient pas qu'ils doivent payer».
Les supporters ne s'arrêtent pas au nom que pourra porter un stade de foot ayant eu recours au naming, arguant qu'on ne supporte pas un stade mais une équipe.
Au fond, ils savent bien que les sport professionnel est déjà bien ''déformé'' par les différents sponsors qui le supportent. Un de plus ou de moins ne changera pas grand-chose.
Cette facilité à accepter cette imbrication nouvelle entre affaires et sport confirme les craintes des puristes: on ne salue plus, dans le sport, l'effort, la virtuosité ou l'extraordinaire unité de l'équipe: on aspire au spectacle.
Les supporters ne s'arrêtent pas au nom que pourra porter un stade de foot ayant eu recours au naming, arguant qu'on ne supporte pas un stade mais une équipe.
Au fond, ils savent bien que les sport professionnel est déjà bien ''déformé'' par les différents sponsors qui le supportent. Un de plus ou de moins ne changera pas grand-chose.
Cette facilité à accepter cette imbrication nouvelle entre affaires et sport confirme les craintes des puristes: on ne salue plus, dans le sport, l'effort, la virtuosité ou l'extraordinaire unité de l'équipe: on aspire au spectacle.