La police qui a interrogé pendant plus de trois heures samedi le médecin du chanteur, le Dr Conrad Murray, a souligné dimanche que ce dernier était considéré non comme un suspect mais comme un témoin.
Edward Chernoff, avocat du praticien, a déclaré que son client avait assuré à la police ne pas avoir administré des analgésiques par intraveineuse à son patient avant son arrêt cardiaque fatal.
"Il ne mangeait pratiquement pas, il ne buvait presque rien. Mais rien ne pouvait laisser le médecin penser qu'il avait des problèmes qui provoqueraient une mort brutale", a ajouté l'avocat.
Un ami de la famille a indiqué que la famille souhaitait organiser les funérailles mercredi et que le corps du "roi de la pop", décédé la semaine dernière, serait inhumé dans sa propriété de Neverland, en Californie, où Jackson a mené une vie de reclus dans un monde enfantin et fantasmé.
La famille de Michael Jackson a fait pratiquer samedi soir une seconde autopsie sur le corps du chanteur après une première autopsie pratiquée par le médecin légiste de Los Angeles.
Cette double autopsie n'a pas encore pu déterminer si Michael Jackson, qui préparait son retour sur scène, a pu succomber à une surdose de médicaments qui lui aurait été prescrits par son médecin.
"Il (le médecin) a été interrogé en tant que personne dont le témoignage nous intéresse, pas en tant que suspect", a déclaré à Reuters Norma Eisenman, porte-parole de la police.
Dans un communiqué, la police de Los Angeles a souligné que le praticien avait été "coopératif" et avait "fourni des informations qui aident l'enquête".
Ses avocats ont indiqué de leur côté que le Dr Murray avait aidé la police à "identifier les circonstances entourant la mort et à clarifier certaines incohérences".
Les résultats des analyses toxicologiques pratiquées ne devraient être disponibles avant quatre à six semaines.
Le chanteur était en arrêt cardiaque lorsque les secours sont arrivés et le Dr Murray tentait désespérément de le ranimer. Il l'a accompagné dans l'ambulance jusqu'à l'hôpital où le décès a été constaté.
L'une des hypothèses est que le "roi de la pop" aurait pu succomber à une surdose de médicaments et selon certaines informations, peu avant de s'effondrer dans la maison qu'il louait dans le quartier de Holmby Hills, à Los Angeles, il aurait reçu une injection de Demerol, un antalgique opiacé.
Un représentant des forces de l'ordre a dit que Michael Jackson était "fortement dépendant" à l'Oxycontin, un antalgique analogue à la morphine, dont il recevait une injection quotidienne, en plus du Demerol.
Source: Reuters via Yahoo News
Edward Chernoff, avocat du praticien, a déclaré que son client avait assuré à la police ne pas avoir administré des analgésiques par intraveineuse à son patient avant son arrêt cardiaque fatal.
"Il ne mangeait pratiquement pas, il ne buvait presque rien. Mais rien ne pouvait laisser le médecin penser qu'il avait des problèmes qui provoqueraient une mort brutale", a ajouté l'avocat.
Un ami de la famille a indiqué que la famille souhaitait organiser les funérailles mercredi et que le corps du "roi de la pop", décédé la semaine dernière, serait inhumé dans sa propriété de Neverland, en Californie, où Jackson a mené une vie de reclus dans un monde enfantin et fantasmé.
La famille de Michael Jackson a fait pratiquer samedi soir une seconde autopsie sur le corps du chanteur après une première autopsie pratiquée par le médecin légiste de Los Angeles.
Cette double autopsie n'a pas encore pu déterminer si Michael Jackson, qui préparait son retour sur scène, a pu succomber à une surdose de médicaments qui lui aurait été prescrits par son médecin.
"Il (le médecin) a été interrogé en tant que personne dont le témoignage nous intéresse, pas en tant que suspect", a déclaré à Reuters Norma Eisenman, porte-parole de la police.
Dans un communiqué, la police de Los Angeles a souligné que le praticien avait été "coopératif" et avait "fourni des informations qui aident l'enquête".
Ses avocats ont indiqué de leur côté que le Dr Murray avait aidé la police à "identifier les circonstances entourant la mort et à clarifier certaines incohérences".
Les résultats des analyses toxicologiques pratiquées ne devraient être disponibles avant quatre à six semaines.
Le chanteur était en arrêt cardiaque lorsque les secours sont arrivés et le Dr Murray tentait désespérément de le ranimer. Il l'a accompagné dans l'ambulance jusqu'à l'hôpital où le décès a été constaté.
L'une des hypothèses est que le "roi de la pop" aurait pu succomber à une surdose de médicaments et selon certaines informations, peu avant de s'effondrer dans la maison qu'il louait dans le quartier de Holmby Hills, à Los Angeles, il aurait reçu une injection de Demerol, un antalgique opiacé.
Un représentant des forces de l'ordre a dit que Michael Jackson était "fortement dépendant" à l'Oxycontin, un antalgique analogue à la morphine, dont il recevait une injection quotidienne, en plus du Demerol.
Source: Reuters via Yahoo News