Moins de vingt-quatre heures après son arrivée en hélicoptère à l'hôpital, le Président s'en est donc allé pour un «repos relatif de quelques jours» à la résidence de la Lanterne à Versailles. Selon l'Elysée, citant les médecins militaires, le diagnostic est celui «d'un malaise lipothymique d'effort soutenu par grande chaleur et sans perte de connaissance, dans un contexte de fatigue liée à une charge de travail importante». En clair, Sarkozy a frôlé la syncope durant son jogging dominical.
«Bilan». Il a dû se soumettre à une batterie de tests, d'où il ressort (toujours selon les mêmes sources) «que le malaise n'a aucune cause cardiologique non plus qu'aucune conséquence cardiologique». Et, pour assurer que décidément tout va bien, l'Elysée et le Val-de-Grâce affirment «qu'aucun élément électrocardiographique évocateur d'un trouble du rythme n'a été décelé. Il est confirmé par ailleurs (bilan sanguin, électroencéphalogramme, IRM cérébrale) qu'il n'y a ni cause ni conséquence neurologique ou métabolique».
Dans ce genre d'affaire de santé qui met les communicants sur les nerfs et où des «sources» fantaisistes se répandent pour dire n'importe quoi, chaque détail à son importance. Le rituel de la sortie d'hôpital en est un. Pour tenter de couper court aux rumeurs, Nicolas Sarkozy est apparu souriant, hier vers 11 heures, aux côtés de son épouse Carla et de blouses blanches chaleureusement remerciées. Du grand classique, même si l'Elysée assure jouer «la transparence» et plaide le «changement d'époque»... lire la suite de l'article sur Libération.fr
Source: Libération via Yahoo News
«Bilan». Il a dû se soumettre à une batterie de tests, d'où il ressort (toujours selon les mêmes sources) «que le malaise n'a aucune cause cardiologique non plus qu'aucune conséquence cardiologique». Et, pour assurer que décidément tout va bien, l'Elysée et le Val-de-Grâce affirment «qu'aucun élément électrocardiographique évocateur d'un trouble du rythme n'a été décelé. Il est confirmé par ailleurs (bilan sanguin, électroencéphalogramme, IRM cérébrale) qu'il n'y a ni cause ni conséquence neurologique ou métabolique».
Dans ce genre d'affaire de santé qui met les communicants sur les nerfs et où des «sources» fantaisistes se répandent pour dire n'importe quoi, chaque détail à son importance. Le rituel de la sortie d'hôpital en est un. Pour tenter de couper court aux rumeurs, Nicolas Sarkozy est apparu souriant, hier vers 11 heures, aux côtés de son épouse Carla et de blouses blanches chaleureusement remerciées. Du grand classique, même si l'Elysée assure jouer «la transparence» et plaide le «changement d'époque»... lire la suite de l'article sur Libération.fr
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