Le secrétaire d'Etat chargé de l'Emploi Laurent Wauquiez a réaffirmé mardi que le gouvernement ne céderait pas sur la réforme des 35 heures, rappelant qu'elle avait été un message "très clair" de la campagne de Nicolas Sarkozy.
"Je comprends très bien que les syndicats ne soient pas d'accord avec ce qui est fait sur les 35 heures, mais personne ne peut dire qu'on a menti. Ça suppose que les syndicats n'ont pas écouté la campagne présidentielle", a lancé secrétaire d'Etat chargé de l'Emploi. "Il y a une part un tout petit peu de mauvaise foi, ça aurait une surprise si le gouvernement n'en avait pas parlé pendant la campagne".
Louant en Xavier Bertrand un "partenaire de confiance", "extrêmement transparent", Laurent Wauquiez a assuré qu'"on les (35 heures NDLR) démantèle pas du tout". Elles "restent la base la durée légale pour une raison", celle du "seuil de déclenchement des heures supplémentaires", a-t-il rappelé.
Enfin, le maire du Puy-en-Velay a regretté l'approche "archaïque" des socialistes et leurs "vieux raisonnements" de vouloir "protéger la vache sacrée des 35 heures parce que c'était celle de Martine Aubry".
Source: news.yahoo.com
"Je comprends très bien que les syndicats ne soient pas d'accord avec ce qui est fait sur les 35 heures, mais personne ne peut dire qu'on a menti. Ça suppose que les syndicats n'ont pas écouté la campagne présidentielle", a lancé secrétaire d'Etat chargé de l'Emploi. "Il y a une part un tout petit peu de mauvaise foi, ça aurait une surprise si le gouvernement n'en avait pas parlé pendant la campagne".
Louant en Xavier Bertrand un "partenaire de confiance", "extrêmement transparent", Laurent Wauquiez a assuré qu'"on les (35 heures NDLR) démantèle pas du tout". Elles "restent la base la durée légale pour une raison", celle du "seuil de déclenchement des heures supplémentaires", a-t-il rappelé.
Enfin, le maire du Puy-en-Velay a regretté l'approche "archaïque" des socialistes et leurs "vieux raisonnements" de vouloir "protéger la vache sacrée des 35 heures parce que c'était celle de Martine Aubry".
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