Une équipe cohérente et déterminée pour une politique qui correspond aux intérêts du pays: Le Premier ministre aura l'occasion de présenter un vote de confiance à l'Assemblée nationale sur un programme de travail au moment de la session parlementaire en septembre ou en octobre et ne doute pas un instant que la majorité sera au rendez-vous. "Il ne peut pas en être autrement." Le débat sur la croissance, sur l'inflation, sur le niveau de l'euro le Gouvernement le mène au niveau européen et il est en train de s'imposer. "C'est précisément au moment où cela bouge et beaucoup grâce à la France que certains disent ‘mais ça ne marche pas, il y a une politique d'austérité, la France ne pèse pas, sa parole n'est pas entendue’. Non, là aussi nous sommes en train d’obtenir des résultats, même si c'est difficile, et c’est long. Et surtout pour être crédibles, forts, entendus, nous devons faire des efforts. Nous ne devons pas nous exonérer de nos responsabilités car depuis 40 ans la France vit au-dessus de ses moyens. (gouvernement.fr/)
Le gouvernement Valls 2 en ordre de bataille (mais avec peu de combattants): Quant à l'Economie, il a été confié à l'ancien secrétaire général adjoint de l'Elysée, Emmanuel Macron. Facilement qualifié d'anti-Montebourg, l'ancien banquier de chez Rothschild est surtout celui qui a échafaudé le pacte de responsabilité, autant dire un soutien ardent du cap social-libéral.
En théorie donc, tout serait idéal pour l'exécutif avec une équipe enfin en ordre de bataille et capable d'appliquer la politique que François Hollande défend -en son for intérieur- depuis très longtemps. Mais ce gouvernement illustre aussi l'échec de la première moitié du quinquennat présidentiel. On est en effet bien loin du rassemblement de toute la gauche que le chef de l'Etat souhaitait opérer au soir de son élection. (huffingtonpost.fr)
Le gouvernement Valls 2 en ordre de bataille (mais avec peu de combattants): Quant à l'Economie, il a été confié à l'ancien secrétaire général adjoint de l'Elysée, Emmanuel Macron. Facilement qualifié d'anti-Montebourg, l'ancien banquier de chez Rothschild est surtout celui qui a échafaudé le pacte de responsabilité, autant dire un soutien ardent du cap social-libéral.
En théorie donc, tout serait idéal pour l'exécutif avec une équipe enfin en ordre de bataille et capable d'appliquer la politique que François Hollande défend -en son for intérieur- depuis très longtemps. Mais ce gouvernement illustre aussi l'échec de la première moitié du quinquennat présidentiel. On est en effet bien loin du rassemblement de toute la gauche que le chef de l'Etat souhaitait opérer au soir de son élection. (huffingtonpost.fr)