"J'espère que nous pourrons achever l'examen de ce projet de loi demain. Je suis prudemment optimiste", a-t-il déclaré au terme d'une troisième journée de négociations à la chambre haute.
Barack Obama a quant à lui invité majorité et opposition à combler au plus vite leurs divergences pour lui permettre de promulguer le texte la semaine prochaine.
"Si nous n'agissons pas rapidement en vue de la promulgation de l'American Recovery and Reinvestment Act, l'économie déjà en crise risque d'être confrontée à une catastrophe", a déclaré le président des Etats-Unis lors d'un rassemblement avec des élus démocrates de la Chambre des représentants à Williamsburg, en Virginie.
En l'absence de progrès au Sénat vendredi, Reid a fait savoir qu'il proposerait une motion en faveur d'un vote bloqué, dimanche.
Le plan de relance en discussion au Sénat, qui en l'état représente 937 milliards de dollars, s'appuie pour un tiers sur des allégements fiscaux et le reste porte sur le financement de grands travaux. Or, les républicains réclament d'avantage de baisses d'impôts et moins d'investissements.
Les démocrates, qui contrôlent au moins 58 sièges au Sénat, doivent réunir 60 voix au Sénat pour écarter le risque d'une obstruction et le président, qui espère toujours promulguer le texte au plus tard le 16 février, souhaite rassembler aussi largement que possible autour de son plan.
Il a toutefois été adopté sans le moindre suffrage républicain à la Chambre des représentants, la semaine dernière.
Une vingtaine d'élus de la majorité comme de l'opposition s'efforcent de parvenir à un compromis qui amputerait le projet de 100 milliards de dollars environ.
Plusieurs sénateurs démocrates ont manifesté leur désaccord, mais le président a estimé que le montant resterait raisonnable.
"Le chiffre initial était aux alentours de 800 milliards. Il y a eu quelques modifications (...) mais c'est, je crois, de l'ordre de ce que nous devons présenter au peuple américain", a-t-il déclaré aux journalistes qui l'accompagnaient en Virginie.
Reid s'était auparavant dit en mesure de faire adopter le texte sans rogner autant sur les investissements.
"Notre objectif numéro un est de faire passer cette loi. Ils (les républicains) ne peuvent prendre le président des Etats-Unis en otage", a-t-il affirmé.
Source: yahoo News
Barack Obama a quant à lui invité majorité et opposition à combler au plus vite leurs divergences pour lui permettre de promulguer le texte la semaine prochaine.
"Si nous n'agissons pas rapidement en vue de la promulgation de l'American Recovery and Reinvestment Act, l'économie déjà en crise risque d'être confrontée à une catastrophe", a déclaré le président des Etats-Unis lors d'un rassemblement avec des élus démocrates de la Chambre des représentants à Williamsburg, en Virginie.
En l'absence de progrès au Sénat vendredi, Reid a fait savoir qu'il proposerait une motion en faveur d'un vote bloqué, dimanche.
Le plan de relance en discussion au Sénat, qui en l'état représente 937 milliards de dollars, s'appuie pour un tiers sur des allégements fiscaux et le reste porte sur le financement de grands travaux. Or, les républicains réclament d'avantage de baisses d'impôts et moins d'investissements.
Les démocrates, qui contrôlent au moins 58 sièges au Sénat, doivent réunir 60 voix au Sénat pour écarter le risque d'une obstruction et le président, qui espère toujours promulguer le texte au plus tard le 16 février, souhaite rassembler aussi largement que possible autour de son plan.
Il a toutefois été adopté sans le moindre suffrage républicain à la Chambre des représentants, la semaine dernière.
Une vingtaine d'élus de la majorité comme de l'opposition s'efforcent de parvenir à un compromis qui amputerait le projet de 100 milliards de dollars environ.
Plusieurs sénateurs démocrates ont manifesté leur désaccord, mais le président a estimé que le montant resterait raisonnable.
"Le chiffre initial était aux alentours de 800 milliards. Il y a eu quelques modifications (...) mais c'est, je crois, de l'ordre de ce que nous devons présenter au peuple américain", a-t-il déclaré aux journalistes qui l'accompagnaient en Virginie.
Reid s'était auparavant dit en mesure de faire adopter le texte sans rogner autant sur les investissements.
"Notre objectif numéro un est de faire passer cette loi. Ils (les républicains) ne peuvent prendre le président des Etats-Unis en otage", a-t-il affirmé.
Source: yahoo News