Cette décision a été prise contre l'avis des proches de l'ex-enseignante, dont la mort a relancé le débat sur la fin de vie en France.
Selon Le Figaro, les premières constatations des experts renforcent l'hypothèse d'une mort naturelle de la quinquagénaire, qui venait de se voir refuser par la justice une aide à mourir.
La décision d'effectuer une autopsie aurait été prise par précaution, le médecin qui a constaté le décès ayant refusé de délivrer un permis d'inhumer.
Atteinte d'une esthésioneuroblastome, tumeur rarissime et incurable aux sinus et à la cavité nasale, qui la défigurait et la faisait atrocement souffrir depuis huit ans, cette ancienne enseignante, mère de trois enfants, avait médiatisé depuis plusieurs semaines son sort.
Elle disait vouloir être conduite vers la mort, en accord avec ses enfants et réclamait qu'on permette à son médecin de famille de lui administrer une dose mortelle de pentothal.
yahoo.com
Selon Le Figaro, les premières constatations des experts renforcent l'hypothèse d'une mort naturelle de la quinquagénaire, qui venait de se voir refuser par la justice une aide à mourir.
La décision d'effectuer une autopsie aurait été prise par précaution, le médecin qui a constaté le décès ayant refusé de délivrer un permis d'inhumer.
Atteinte d'une esthésioneuroblastome, tumeur rarissime et incurable aux sinus et à la cavité nasale, qui la défigurait et la faisait atrocement souffrir depuis huit ans, cette ancienne enseignante, mère de trois enfants, avait médiatisé depuis plusieurs semaines son sort.
Elle disait vouloir être conduite vers la mort, en accord avec ses enfants et réclamait qu'on permette à son médecin de famille de lui administrer une dose mortelle de pentothal.
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