Films X: Des officiers californiens vont devoir jouer la police du préservatif
Cette semaine, la petite ville de Simi Valley, au nord de Los Angeles, a adopté une loi obligeant les acteurs pornos à porter un préservatif pendant un tournage. Selon le texte, les producteurs devront envoyer une copie du film à la police, qui devra s'assurer que la loi est respectée. Les forces de l'ordre n'ont pas encore précisé quel dispositif serait mis en place. La loi a surtout été adoptée pour dissuader l'industrie du film X de venir s'installer dans cette banlieue familiale. Un texte rendant la capote obligatoire a en effet été adopté par le comté de Los Angeles en mars, et certains estiment que les producteurs pourraient quitter la vallée de San Fernando pour les communes voisines non concernées par les régulations. Vers une diaspora du X? Le texte signé en mars par le maire de Los Angeles Antonio Villaraigosa repose, lui, sur des contrôles effectués sur les lieux de tournage. L'industrie du X s'est farouchement opposée au port obligatoire du préservatif, affirmant qu'une expérience tentée dans les années 90 au plus fort de l'épidémie du VIH s'était soldée par des baisses dans les ventes.(20minutes.fr) Pourquoi ne pas attendre le consentement des acteurs?
Les maisons de santé, une réponse consensuelle aux déserts médicaux
Solution consensuelle, les maisons de santé pluridisciplinaires ne sont toutefois pas toujours la solution idéale aux déserts médicaux. Ces maisons, financées sur fonds publics, hébergent médecins, infirmiers ou kinésithérapeutes, qui restent des libéraux, mais paient un loyer aux collectivités. Une solution plus souple que d'installer son propre cabinet, qui séduit dans les campagnes mais peine à s'installer en banlieue. 'Les élus ont tendance à considérer que ces maisons sont la solution aux déserts médicaux, mais leur véritable valeur ajoutée est la coordination entre praticiens qui travaillent sur un même lieu', défend Pierre de Haas, président de la Fédération française des maisons et pôles de santé, 'mais c'est sûr qu'elles attirent aussi les médecins parce qu'ils y trouvent une meilleure qualité de vie qu'en étant seuls dans leur cabinet. Il est par exemple plus facile de prendre des vacances quand on sait qu'on peut compter sur d'autres médecins pour nous remplacer'.(lemonde.fr) Une réponse est une réponse, traitons la comme il se doit.
Paris: Le SDF de Saint-Germain-des-Prés a tiré sa révérence en bonne compagnie
«Tout St-Germain-Des-Prés va se pointer» a prévenu Michel devant le crématorium du Père Lachaise, avant le début de la cérémonie. Ce retraité du Café de Flore est venu dire au revoir à son ami Jean-Marc Restoux, dont la crémation a été financée par des habitants ou travailleurs du 6e arrondissement de Paris. «Il est parti la tête haute». Le clochard «star» du quartier germanopratin disparu à 58 ans des suites d'un cancer, le 4 avril dernier, aura su s'entourer jusqu'à la fin. On comptait une centaine de personnes dans la salle ce jeudi après-midi. Alain Chouffan, journaliste au Nouvel Observateur et ami de longue date du SDF, s'est dit heureux de voir son ami partir «la tête haute» et pas dans une fosse commune. Avant de souligner la diversité des gens venus lui rendre hommage, parfait reflet de ce qu'a été la vie de Jean-Marc Restoux. «Clochard céleste». Dany et Yves, employés des Deux Magots, se sont souvenus des débats politiques animés provoqués par Jean-Marc Restoux devant le kiosque à journaux. «Je l'appelais son "bureau", a souri Mr de Sesmaisons. C'est lui qui a incité Jean-Marc Restoux à faire campagne pour les municipales de 2008.(20minutes.fr) Si la France rabaisse les SDF même dans la mort, nouas avons un véritable problème.
Source: Yahoo actualités
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Cette semaine, la petite ville de Simi Valley, au nord de Los Angeles, a adopté une loi obligeant les acteurs pornos à porter un préservatif pendant un tournage. Selon le texte, les producteurs devront envoyer une copie du film à la police, qui devra s'assurer que la loi est respectée. Les forces de l'ordre n'ont pas encore précisé quel dispositif serait mis en place. La loi a surtout été adoptée pour dissuader l'industrie du film X de venir s'installer dans cette banlieue familiale. Un texte rendant la capote obligatoire a en effet été adopté par le comté de Los Angeles en mars, et certains estiment que les producteurs pourraient quitter la vallée de San Fernando pour les communes voisines non concernées par les régulations. Vers une diaspora du X? Le texte signé en mars par le maire de Los Angeles Antonio Villaraigosa repose, lui, sur des contrôles effectués sur les lieux de tournage. L'industrie du X s'est farouchement opposée au port obligatoire du préservatif, affirmant qu'une expérience tentée dans les années 90 au plus fort de l'épidémie du VIH s'était soldée par des baisses dans les ventes.(20minutes.fr) Pourquoi ne pas attendre le consentement des acteurs?
Les maisons de santé, une réponse consensuelle aux déserts médicaux
Solution consensuelle, les maisons de santé pluridisciplinaires ne sont toutefois pas toujours la solution idéale aux déserts médicaux. Ces maisons, financées sur fonds publics, hébergent médecins, infirmiers ou kinésithérapeutes, qui restent des libéraux, mais paient un loyer aux collectivités. Une solution plus souple que d'installer son propre cabinet, qui séduit dans les campagnes mais peine à s'installer en banlieue. 'Les élus ont tendance à considérer que ces maisons sont la solution aux déserts médicaux, mais leur véritable valeur ajoutée est la coordination entre praticiens qui travaillent sur un même lieu', défend Pierre de Haas, président de la Fédération française des maisons et pôles de santé, 'mais c'est sûr qu'elles attirent aussi les médecins parce qu'ils y trouvent une meilleure qualité de vie qu'en étant seuls dans leur cabinet. Il est par exemple plus facile de prendre des vacances quand on sait qu'on peut compter sur d'autres médecins pour nous remplacer'.(lemonde.fr) Une réponse est une réponse, traitons la comme il se doit.
Paris: Le SDF de Saint-Germain-des-Prés a tiré sa révérence en bonne compagnie
«Tout St-Germain-Des-Prés va se pointer» a prévenu Michel devant le crématorium du Père Lachaise, avant le début de la cérémonie. Ce retraité du Café de Flore est venu dire au revoir à son ami Jean-Marc Restoux, dont la crémation a été financée par des habitants ou travailleurs du 6e arrondissement de Paris. «Il est parti la tête haute». Le clochard «star» du quartier germanopratin disparu à 58 ans des suites d'un cancer, le 4 avril dernier, aura su s'entourer jusqu'à la fin. On comptait une centaine de personnes dans la salle ce jeudi après-midi. Alain Chouffan, journaliste au Nouvel Observateur et ami de longue date du SDF, s'est dit heureux de voir son ami partir «la tête haute» et pas dans une fosse commune. Avant de souligner la diversité des gens venus lui rendre hommage, parfait reflet de ce qu'a été la vie de Jean-Marc Restoux. «Clochard céleste». Dany et Yves, employés des Deux Magots, se sont souvenus des débats politiques animés provoqués par Jean-Marc Restoux devant le kiosque à journaux. «Je l'appelais son "bureau", a souri Mr de Sesmaisons. C'est lui qui a incité Jean-Marc Restoux à faire campagne pour les municipales de 2008.(20minutes.fr) Si la France rabaisse les SDF même dans la mort, nouas avons un véritable problème.
Source: Yahoo actualités
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