La France, qui poursuit le pillage des richesses de ses anciennes colonies, ne s’arrête pas là-dessus. En date du 9 août 2020, elle publiait: «Une attaque violente et meurtrière s’est produite, le 9 août 2020, dans la réserve des girafes, située près de Kouré, commune à 60 km à l’est de Niamey, dans la région de Dosso.
L’ensemble du pays est formellement déconseillé (rouge), à l’exception de la capitale Niamey qui est déconseillée sauf raison impérative (orange).
Pour rappel, en raison de la situation sécuritaire dans toute la région, la menace terroriste pesant sur le Niger, en particulier hors de la capitale et près des frontières, est très élevée. … Les actions perpétrées aux frontières de ce pays (enlèvements, attentats, attaques) soulignent la persistance et la diversité de la menace...» Les répercussions d’une telle décision sont multiples.
Le tourisme sapé
L’économie du Niger est en grande partie dépendante de la filière tourisme. Cette annonce intervient comme un coup de massue pour les acteurs du tourisme local. A coup sûr, le pays va entrer dans une récession majeure. La crise due au coronavirus et mesures de confinement imposées par le gouvernement local entravaient déjà lourdement l’économie.
L’insécurité vers un nouveau paroxysme
Cette partie du monde est encore occupée par la contre-bande d’arme et des braconniers en tous genres. En outre, la propagande pour l’islamisation de la région demeure très active et s’accompagne de recrutements massifs de jeunes pour des missions suicides ou pour les envoyer sur les fronts où il y a conflit lié à l’Islam, comme récemment en Syrie.
Un sentiment d'abandon
Le classement en zone rouge du Niger (comme le Darfour et le Soudan) provoque dans les populations un sentiment d’abandon alors que c’est par le développement économique que ces pays sortiront des guerres. Les anciennes colonies n’ont-elles pas le devoir – au moins moral – de soutenir le développement ?
L’ensemble du pays est formellement déconseillé (rouge), à l’exception de la capitale Niamey qui est déconseillée sauf raison impérative (orange).
Pour rappel, en raison de la situation sécuritaire dans toute la région, la menace terroriste pesant sur le Niger, en particulier hors de la capitale et près des frontières, est très élevée. … Les actions perpétrées aux frontières de ce pays (enlèvements, attentats, attaques) soulignent la persistance et la diversité de la menace...» Les répercussions d’une telle décision sont multiples.
Le tourisme sapé
L’économie du Niger est en grande partie dépendante de la filière tourisme. Cette annonce intervient comme un coup de massue pour les acteurs du tourisme local. A coup sûr, le pays va entrer dans une récession majeure. La crise due au coronavirus et mesures de confinement imposées par le gouvernement local entravaient déjà lourdement l’économie.
L’insécurité vers un nouveau paroxysme
Cette partie du monde est encore occupée par la contre-bande d’arme et des braconniers en tous genres. En outre, la propagande pour l’islamisation de la région demeure très active et s’accompagne de recrutements massifs de jeunes pour des missions suicides ou pour les envoyer sur les fronts où il y a conflit lié à l’Islam, comme récemment en Syrie.
Un sentiment d'abandon
Le classement en zone rouge du Niger (comme le Darfour et le Soudan) provoque dans les populations un sentiment d’abandon alors que c’est par le développement économique que ces pays sortiront des guerres. Les anciennes colonies n’ont-elles pas le devoir – au moins moral – de soutenir le développement ?