Intervention de Chaîne du Bonheur au Sénégal
Il s’agit en substance de l’insertion des jeunes déscolarisés. Ceux analphabètes sont aussi concernés par un vaste programme auquel est associé l’ONG : Alphadev. L’œuvre à encourager est effective depuis l’année 2011. Le programme bénéficie de l’assistance de Terre des Hommes Suisse. L’accompagnement est sans faille depuis plusieurs années déjà. Il convient de faire référence à ce financement de 210 000f Suisse en 2018. Ce financement devrait couvrir plus de deux ans.
Il faut remarquer que « chaîne de Bonheur » est une vieille organisation qui a déjà près de 75 ans. Elle défend les droits des enfants dans son pays d’origine et dans plusieurs autres pays étrangers.
Il faut remarquer que « chaîne de Bonheur » est une vieille organisation qui a déjà près de 75 ans. Elle défend les droits des enfants dans son pays d’origine et dans plusieurs autres pays étrangers.
Les explications de Judith Schuler
Judith Schuler est la directrice de communication et fundraising de « chaîne du Bonheur ». Elle explique les orientations des financements de l’organisation. Essentiellement, l’organisation soutien tous les projets qui vont dans le sens de la défense des droits des enfants qui n’ont pas encore 18 ans. Il faut dire qu’il s’agit de la défense des droits des enfants mineurs.
L’organisation travaille à l’éducation de ces enfants d’une part et à leur protection d’autre part. Pour y arriver, c’est l’Alphadev qui organise des séances d’alphabétisation en faveur des enfants. L’ONG organise aussi différentes formations sanctionnées par des diplômes. Il s’agit souvent des formations professionnelles. L’objectif est de donner aux enfants des capacités de travailler par eux-mêmes sans attendre l’Etat. C’est la meilleure manière de combattre la pauvreté dans ces régions. Lorsqu’ils sont occupés, le taux de criminalité est réduit et les tentatives d’immigration ne sont plus fréquentes.
Quelques formations et témoignages
Parmi les bénéficiaires, on retrouve différentes sortes de métiers : la soudure, la couture, l’électricité… Les responsables reconnaissent qu’il y a une discrimination positive en faveur des filles qui sont majoritaires parmi les bénéficiaires. Plusieurs filles ont témoigné leur parcours qui ne pouvait pas réussir sans l’aide de l’ONG. Plusieurs parents ne donnaient aucune chance de décider de leur avenir aux enfants. Dans le cas des filles, les parents les déscolarisaient très tôt pour des mariages précoces. Plusieurs filles ont été sauvées grâce à l’accompagnent de l’ONG et servent aujourd’hui d’exemples à d’autres.