A six jours du premier tour des municipales, qui s'annoncent favorables au PS, Nadine Morano s'en est prise à Laurent Fabius, "expert du mensonge" qui prédit un "plan de rigueur" pour après le 16 mars, et à l'appel au vote-sanction contre Nicolas Sarkozy lancé par François Hollande. "Le PS ne propose rien, s'attaque uniquement au président de la République", a dénoncé la porte-parole de l'UMP.
La candidate à la mairie de Toul (Moselle) a mis en garde contre les augmentations d'impôts locaux dans les municipalités socialistes après les élections, rappelant le précédent des régionales de 2004, remportées par la gauche. "En 2004, le PS appelait déjà au vote sanction. Les socialistes gèrent les régions avec une hausse moyenne des impôts de plus de 35%", a accusé Mme Morano, alors que le PS se défend en invoquant notamment les transferts de charges dus à la loi de décentralisation de 2004.
La porte-parole de l'UMP a appelé l'électorat de Nicolas Sarkozy à "se mobiliser fortement dimanche", vantant la "stratégie d'ouverture et de rassemblement" de son parti.
Selon Alain Marleix, secrétaire national aux élections, l'UMP présente "plus de 1.000" candidats d'ouverture sur ses listes dans les 290 villes de plus de 30.000 habitants et préfectures de départements. Sur ce millier de candidats, les deux tiers seraient issus de la gauche et un tiers du MoDem de François Bayrou.
nouvelobs.com
La candidate à la mairie de Toul (Moselle) a mis en garde contre les augmentations d'impôts locaux dans les municipalités socialistes après les élections, rappelant le précédent des régionales de 2004, remportées par la gauche. "En 2004, le PS appelait déjà au vote sanction. Les socialistes gèrent les régions avec une hausse moyenne des impôts de plus de 35%", a accusé Mme Morano, alors que le PS se défend en invoquant notamment les transferts de charges dus à la loi de décentralisation de 2004.
La porte-parole de l'UMP a appelé l'électorat de Nicolas Sarkozy à "se mobiliser fortement dimanche", vantant la "stratégie d'ouverture et de rassemblement" de son parti.
Selon Alain Marleix, secrétaire national aux élections, l'UMP présente "plus de 1.000" candidats d'ouverture sur ses listes dans les 290 villes de plus de 30.000 habitants et préfectures de départements. Sur ce millier de candidats, les deux tiers seraient issus de la gauche et un tiers du MoDem de François Bayrou.
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