Sarkozy-Morano : "La France ne s'assimile pas à une race"
C'est à une mise à mort politique à laquelle vient de procéder Nicolas Sarkozy en faisant voter par la CNI (commission nationale d'investiture) l'exclusion de Nadine Morano de la tête de liste en Meurthe-et-Moselle. La députée européenne est également destituée du poste de secrétaire départementale du parti. En revanche, elle demeure vice-présidente de la CNI, aux côtés du président Estrosi. On se demande d'ailleurs comment cela sera possible après un tel camouflet. … Jean-Pierre Raffarin a bien tenté de s'interposer en estimant que le cas de Nadine Morano aurait du être tranché en bureau politique, et non en CNI. (lepoint.fr)
Morano : pas d'excuse, pas de tête de liste
En refusant de faire pénitence, l’ancienne ministre aura plutôt rendu service à l’ex-Président. Car dans la région Alsace-Lorraine-Champagne-Ardennes, la page Morano est déjà tournée. … Dans un entretien au Point, Morano a dit le 30 septembre tout le bien qu’elle pense du président sortant de la région Alsace, «un nul qui ne sait pas conduire sa campagne régionale». Le «nul» en question était reçu mercredi par Sarkozy au siège de LR, rue de Vaugirard, accompagné de certains de ses colistiers, tous favorables à l’éviction définitive de Morano. (liberation.fr)
Morano sanctionnée, mais ses propos ne «valent pas une exclusion» du parti
Même si l'investiture de Morano a été retirée, cette dernière reste membre à part entière des Républicains, comme l'a indiqué Sébastien Huygue, porte-parole de LR. Un choix d'une demi-mesure qui interpelle. A moins que le parti veuille ménager son électorat... Car bien des sympathisants des Républicains ont affiché un soutien sans faille à Nadine Morano après ses propos controversés. … Mais Morano devrait rester au sein du parti. «Nous pensons que ce qu'elle a dit est une erreur mais ne vaut pas d'être exclue. Nous ne sommes pas un parti stalinien qui coupe les têtes». (leparisien.fr)
C'est à une mise à mort politique à laquelle vient de procéder Nicolas Sarkozy en faisant voter par la CNI (commission nationale d'investiture) l'exclusion de Nadine Morano de la tête de liste en Meurthe-et-Moselle. La députée européenne est également destituée du poste de secrétaire départementale du parti. En revanche, elle demeure vice-présidente de la CNI, aux côtés du président Estrosi. On se demande d'ailleurs comment cela sera possible après un tel camouflet. … Jean-Pierre Raffarin a bien tenté de s'interposer en estimant que le cas de Nadine Morano aurait du être tranché en bureau politique, et non en CNI. (lepoint.fr)
Morano : pas d'excuse, pas de tête de liste
En refusant de faire pénitence, l’ancienne ministre aura plutôt rendu service à l’ex-Président. Car dans la région Alsace-Lorraine-Champagne-Ardennes, la page Morano est déjà tournée. … Dans un entretien au Point, Morano a dit le 30 septembre tout le bien qu’elle pense du président sortant de la région Alsace, «un nul qui ne sait pas conduire sa campagne régionale». Le «nul» en question était reçu mercredi par Sarkozy au siège de LR, rue de Vaugirard, accompagné de certains de ses colistiers, tous favorables à l’éviction définitive de Morano. (liberation.fr)
Morano sanctionnée, mais ses propos ne «valent pas une exclusion» du parti
Même si l'investiture de Morano a été retirée, cette dernière reste membre à part entière des Républicains, comme l'a indiqué Sébastien Huygue, porte-parole de LR. Un choix d'une demi-mesure qui interpelle. A moins que le parti veuille ménager son électorat... Car bien des sympathisants des Républicains ont affiché un soutien sans faille à Nadine Morano après ses propos controversés. … Mais Morano devrait rester au sein du parti. «Nous pensons que ce qu'elle a dit est une erreur mais ne vaut pas d'être exclue. Nous ne sommes pas un parti stalinien qui coupe les têtes». (leparisien.fr)