« Il y a un facteur qui joue contre [nous], il y a de nombreuses opérations dans le pays, et ils ne vont pas les suspendre, cela pourrait retarder [la libération] jusqu'à ce que les conditions de sécurité soient réunies pour les otages, a déclaré la sénatrice colombienne. Je ne sais ni où ni quand aura lieu la libération » de Clara Rojas, bras droit d'Ingrid Betancourt, de son fils de 3 ans et de l'ancienne parlementaire colombienne Consuelo Gonzalez. » Le gouvernement colombien a de son côté démenti avoir l'intention de s'ingérer dans le processus de libération. « Il n'y a de la part du gouvernement colombien aucune volonté d'interférer en quoi que ce soit », a déclaré le ministre de l'Intérieur, Carlos Holguin.
Le président vénézuélien Hugo Chavez, qui, comme Piedad Cordoba, a été congédié par son homologue colombien Alvaro Uribe de son rôle de médiateur, avait évoqué « un cadeau de Noël » pour les familles des otages. Piedad Cordoba s'est cependant déclarée « optimiste » , « car les Farc ont passé un accord avec nous pour donner des preuves de vie [d'Ingrid Betancourt], pour lesquelles il y avait tant de doutes, et elles sont arrivées ». Elle faisait référence à la vidéo dans laquelle apparaît l'otage franco-colombienne, diffusée fin novembre.
Source: http://www.lefigaro.fr
Le président vénézuélien Hugo Chavez, qui, comme Piedad Cordoba, a été congédié par son homologue colombien Alvaro Uribe de son rôle de médiateur, avait évoqué « un cadeau de Noël » pour les familles des otages. Piedad Cordoba s'est cependant déclarée « optimiste » , « car les Farc ont passé un accord avec nous pour donner des preuves de vie [d'Ingrid Betancourt], pour lesquelles il y avait tant de doutes, et elles sont arrivées ». Elle faisait référence à la vidéo dans laquelle apparaît l'otage franco-colombienne, diffusée fin novembre.
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