La facture établie par l'Union européenne en janvier s'établit à 338 millions d'euros et elle pourrait atteindre 500 millions avec les intérêts, voire plus, a-t-on dit de source européenne.
Elle porte sur des subventions indûment versées par l'Etat français à des producteurs entre 1992 et 2002.
"Il semble que pendant cette période, les producteurs aient aussi bénéficié d'aides versées par les organisations professionnelles du secteur", également contestées par la Commission.
"La somme exacte n'est pas connue mais pourrait atteindre 200 millions supplémentaires", portant le total aux environs de 700 millions d'euros, ajoute le quotidien.
La commissaire européenne à l'Agriculture, la danoise Mariann Fischer-Boel, a donné deux mois supplémentaires à la France pour s'expliquer sur la façon dont Paris compte récupérer les aides.
Le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, conteste le montant de 500 millions, qui est selon lui "largement surévalué".
Les représentants des producteurs répètent pour leur part qu'il est hors de question pour eux de rembourser ces aides.
Source: Reuters via Yahoo News
Elle porte sur des subventions indûment versées par l'Etat français à des producteurs entre 1992 et 2002.
"Il semble que pendant cette période, les producteurs aient aussi bénéficié d'aides versées par les organisations professionnelles du secteur", également contestées par la Commission.
"La somme exacte n'est pas connue mais pourrait atteindre 200 millions supplémentaires", portant le total aux environs de 700 millions d'euros, ajoute le quotidien.
La commissaire européenne à l'Agriculture, la danoise Mariann Fischer-Boel, a donné deux mois supplémentaires à la France pour s'expliquer sur la façon dont Paris compte récupérer les aides.
Le ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire, conteste le montant de 500 millions, qui est selon lui "largement surévalué".
Les représentants des producteurs répètent pour leur part qu'il est hors de question pour eux de rembourser ces aides.
Source: Reuters via Yahoo News